1. Paramahamsa Yogananda

PARAMAHAMSA YOGANANDA, Le Sage et Saint Hindou, posté le jeudi 21 décembre 2006 10:36

Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, PARAHAMSA YOGANANDA, Le Sage Hindous - Paroles page 83

Cher visiteur, vous pouvez directement vous rendre à la page 2 UNIVERS MYSTIQUE pour entrer dans le vif du sujet.

Cet article-ci vient de musicblog disparu avec 82.000 articles avalés mais ceci est un souvenir où l’on parle de Paramahamsa YOGANANDA dans une autre rubrique appellé  EDIFICATION EXEMPLATIVE car ici l’article est peu lisible. Merci de votre compréhension.

CITATIONS DE YOGANANDA

DDieu est amour. Le plan de la création repose sur l’amour.

LLe but divin de la création, dans la mesure ou il est accessible à l’entendement, est exposé dans les Védas. Les rishis ont enseigné que chaque être humain a été créé par Dieu, entant qu’âme qui doit manifester uniquement un aspect particulier de l’infini, avant de réacquérir son identité absolue

Un chercheur doit combattre ses sens pour obtenir la victoire spirituelle.

CChacun est KrishUna ou le Christ en puissance.

LL’homme est au milieu avec Dieu d’un côté et Satan de l’autre, tous deux prêts à le tirer du côté où il veut aller.

LLorsque l’amour de toutes choses apparaît comme une expression de Dieu, la conscience de l’homme atteint enfin son expansion dans l’omniprésence.

UUn étudiant qui change d’école fréquemment ne peut pas recevoir un bon enseignement. C’est aussi vrai sur la voie spirituelle : ne changez pas fréquemment de pratique ou vous allez vous égarer.

PPlus vous ressentez la paix en méditation, plus vous êtes proches de Dieu.

DDieu est éternelle béatitude, amour infini, sagesse et joie.

LLe danger et l’ego sont nés ensemble mais l’ego est le plus dangereux des deux.

LLa mort ne veut rien dire pour celui qui est fort
spirituellement.

LLa souffrance est un bon professeur pour ceux qui sont vifs et prêts à apprendre.

LLes problèmes et les maladies contiennent des leçons cachées à nos yeux. Essayez d’utiliser l’expérience de la vie comme un professeur qui vous guide.

SSoyez introspectif. Faites le point sur vous-même et vos habitudes et trouvez ce qui vous barre la route.

TTous les hommes et les femmes qui réussissent passent une grande partie de leur temps en concentration profonde.

LLa lune ne se reflète pas clairement sur les eaux agitées mais sur leur surface calme. Le véritable amour de Dieu se manifeste par un mental calme.

DDerrière la lumière dans chaque petite ampoule, il y a un grand courant dynamique ; derrière les vagues, un vaste océan et derrière l’individu, l’Esprit Suprême.

D

lien

Dans la religion chrétienne Maya prend la forme du diable, multipliant à l’infini ses formes pour cacher la vérité unique, sans formes, son seul but est de détourner l’homme de l’esprit vers la matière, de la réalité vers l’irréalité. Maya est sans commencement.

LLes antiques Védas déclarent que le monde physique est soumis à la Loi fondamentale, celle de Maya, principe de dualité et de relativité. Dieu, la vie unique, est l’unité absolue, pour apparaître sous les manifestations séparées et variées de la création, il se revêt d’un voile faux et irréel. Ce voile illusoire de la réalité est Maya.
Le principe egoique  » ahankara  » (trad. : je fais) est la source de ce dualisme, de cette séparation apparente entre l’homme et son créateur. Ahankara amène l’homme sous le joug de Maya, l’illusion cosmique par laquelle le sujet (l’ego) apparaît faussement comme étant objet : les créatures se prennent pour des créateurs.

EEn vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu’un garde ma parole (demeure perpétuellement en la conscience Christique), il ne verra jamais la mort. (Jean, VIII, 51)

          Par ces paroles, le Christ n’entendait pas la vie immortelle dans le corps physique, emprisonnement interminable que l’on ne souhaiterait pas à un pécheur,
encore moins à un Saint ! L’homme illuminé dont parle le Christ est celui qui c’est réveillé du sommeil mortel de l’ignorance et est devenu conscient de la vie éternelle.
La nature essentielle de l’homme est l’esprit omniprésent et sans formes. La contrainte, le confinement karmique dans un corps résulte de l’avidya, l’ignorance. Les            écritures de l’Inde enseignent que la mort, tout comme la vie, est œuvre de Maya, l’illusion cosmique. Ces deux états ne relèvent que du monde de la relativité.

JLe suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au père que par moi. Or il ajoute: « Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même: mais le Père demeurant en moi fait ses oeuvres » (Jean, XIV, 6)

         Le Christ n’affirme non pas qu’il est le fils unique de Dieu, mais que nul homme n’atteint l’Absolu inexprimable, le père, transcendant à la création, avant d’avoir                       manifesté le  » fils  » ou conscience christique, s’identifie avec celle ci ou son ego s’est immergé depuis longtemps. Quand Saint Paul écrit  » Dieu ….

Qui a crée toute chose par Jésus Christ  » (Ephésiens, III, 9 : texte anglais) et quand le Christ dit  » avant Abraham, je suis  » (Jean, VIII, 58) l’essence de ces paroles           est bien l’impersonnalité.

LLa vérité n’est ni une théorie, ni une philosophie spéculative, ni une vision intellectuelle. La vérité est le visage même de la réalité. Pour l’homme, c’est la connaissance inébranlable de sa nature, de son moi entant qu’âme. Le christ par chaque parole, par chaque acte de sa vie prouva qu’il connaissait la vérité de son être, sa divine nature.

LLa connaissance de la loi du karma et de son corollaire la réincarnation résulte de beaucoup de textes bibliques, ainsi :

                    » Si quelqu’un verse le sang de l’homme, par l’homme son sang sera versé  » (Gen, IX, 6)

La mort et également le sommeil ou petite mort sont une nécessité mortelle et libèrent temporairement l’homme non éclairé de l’entrave des sens. Comme la                        nature essentielle de l’homme est Esprit, il reçoit, dans le sommeil et la mort un rappel vivifiant de son caractère impersonnel.

La loi équilibrante du karma, comme l’enseignent les écritures Hindoues, est celle de l’action et de la réaction, de la cause et de l’effet, de la semée et de la                            récolte. Chaque homme par ses pensées et ses actions est modeleur de sa destiné.

UN

ETRE PARTICULIER 

PARAMAHAMSA YOGANANDA  

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Paramahamsa Yogananda

Voici une série de documents exceptionnels et rares avec un très grand Saint hindous pour lequel j’ai beaucoup d’admiration.

YOGANANDA : PRECIEUX DOCUMENTS 

 

Que la toile est riche en toute chose et voici que je trouve des documents vidéos d’une rareté incroyable et très anciens ! Il ‘agit d’un Saint hindou et reconnu comme tel que j’admire depuis très longtemps et donc j’ai lu l’autobiographie : Parahamsa Yogananda. Le voici avec ses gestes, sa voix…

Paramahamsa Yogananda est quelqu’un qui m’est cher, je ne l’ai jamais rencontré, ni rencontré aucun de ses disciples. C’est quelque chose qui se passe dans le coeur.

 Le destin de YOGANANDA  posté le lundi 25 décembre 2006 20:53

Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, Le destin de YOGANANDA

« Cet enfant n’est pas un enfant ordinaire. Il sera un moteur spirituel entraînant de nombreuses âmes vers le Divin. » Telle fut la prédiction de Shri Lahiri Mahasaya sur l’enfant qu’il tenait sur ses genoux en le bénissant. Cet enfant qui allait raviver la flamme de l’amour dans des millions de cœurs devait être plus tard connu sous le nom de Paramahamsa Yogananda.

Yoganandaji, le plus cher disciple de Shriyukteswar, eut dès son enfance un désir ardent pour l’évolution spirituelle et la réalisation de soi. Il passa de nombreuses nuits sans sommeil, les larmes aux yeux, priant Dieu du fond du cœur. Les conseils de son père divin Bhagavati Charan, les instructions de son premier guru Hamsa Swami Kevalananda et finalement l’enseignement spirituel strict et discipliné de Shriyukteswar, modelèrent sa vie pour faire de lui un yogi accompli, prêt à propager le message du Kriya Yoga en Occident.

Swami Vivekananda, le spiritualiste Indien profondément enivré de Dieu, proclama à la fin du siècle dernier qu’il avait établi les fondations de la spiritualité en Occident et qu’un changement révolutionnaire dans la façon de penser des Occidentaux s’était produit. Il prédit également qu’après lui un autre grand yogi apporterait la réconciliation entre toutes les religions par la méditation et le mode de vie yogique.

Yogananda était une dynamo spirituelle. Comme il le disait lui-même: ‘Ma vie est un tourbillon d’activité et un combat pour le travail. » Il passa la majeure partie de ses 59 ans d’existence physique en Occident, plus particulièrement aux Etats Unis. Après une longue période ininterrompue de 15 ans passée aux Etats Unis, Yoganandaji rentra en Inde pour une courte durée en 1935 et 1936. L’allégresse était à son comble, particulièrement pour les Kriyavans, lorsqu’ils reçurent leur messager en Occident qui avait encouragé et inspiré des milliers de gens sur la voie du Kriya.

Rabi avait beaucoup entendu parler de Yoganandaji par divers Kriyavans et surtout par son bien-aimé Guruji, Swami Shriyukteswarji. Il avait une envie irrésistible de rencontrer cette grande âme. En 1935, alors qu’il logeait à Calcutta dans sa maison parentale, Rabi parvint à le rencontrer. Il se prosterna et s’assit à ses pieds.

Au cours de leur conversation, Yoganandaji dit à Rabi: « En soi, voir ne permet ni d’acquérir ce pouvoir divin ni d’assouvir le désir ultime de sa propre vie. »

Rabi répondit avec humilité: « Je veux expérimenter ce pouvoir de la pratique spirituelle et apprendre de vous les techniques avancées de la phase supérieure du Kriya Yoga. »

Yoganandaji: « Combien d’heures peux-tu consacrer à la pratique spirituelle? » « Ce n’est pas une question d’heures, de jours ni d’années. Pour entrer en contact avec un tel pouvoir je suis prêt à sacrifier toute ma vie à la pratique spirituelle dans un ermitage et j’ai fait le vœu de célibat à vie et de consécration à ce but. J’aimerais beaucoup vous voir dans l’état de samadhi. »

Yoganandaji fut satisfait et emmena Rabi dans une pièce voisine où il s’assit dans la posture de méditation et, en très peu de temps, il atteignit l’état de samadhi. Rabi fut ébloui par la vue de son corps illuminé par la lumière divine, sans aucun signe de battements cardiaques, de pouls ni de respiration. Lorsqu’après environ une demi-heure, il regagna peu à peu sa condition physique normale, Rabi se prosterna devant lui avec une entière dévotion et un amour total.

Rabi voulait recevoir de lui une initiation spirituelle et il exauça son vœu avec gentillesse et sympathie. Lorsque Rabi lui demanda ce qu’il devait apporter pour la cérémonie d’initiation, il répondit en souriant que l’offrande d’un cœur plein d’amour était la plus belle qu’on puisse faire au gourou.

L’initiation fut fixée au lendemain. Après son initiation au deuxième Kriya, Yoganandaji embrassa Rabi. A ce contact tendre et surhumain tout le corps de Rabi se remplit de vibration divine le transportant dans un état extatique.

Une autre fois il toucha la tête de Rabi en disant qu’un jour, grâce à la pratique spirituelle, il éveillerait en lui le Pouvoir suprême et atteindrait l’état surhumain. Toutes les paroles de ce grand yogi étaient des prophéties. Pendant son voyage en Inde, Shriyukteswarji honora Yoganandaji du titre supérieur de Paramahamsa. Dès lors il fut connu sous le nom de Paramahamsa Yoganandaji. Sa voix exaltante, sa claire conscience et son amour suprême eurent un effet durable sur la vie du jeune Rabi.

Rabi n’allait pas pouvoir profiter encore bien longtemps de la compagnie de gurus de l’envergure de Swami Shriyukteswarji et Paramahamsa Yoganandaji. Alors que Rabi travaillait encore dans la société textile, Swami Shriyukteswarji, son guru bien-aimé, quitta son corps en 1936 au Karar Ashram. Il ne pouvait être aux côtés de son Guruji. Paramahamsa Yoganandaji prit en charge l’accomplissement de tous les rites après le mahasamadhi de Shriyukteswar. Il désigna Swami Sevananda comme Swami en charge du Karar Ashram de Puri. Pour un véritable chercheur, une telle séparation est très pénible. Son association physique directe avec ces deux grands maîtres manquait à Rabi: l’un avait quitté son corps physique et l’autre était loin, aux Etats Unis.

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