29. Le parfait Bonheur

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Brooklyn Museum – Kalayavana Surrounds Mathura Page from a Dispersed Bhagavata Purana Series

Ce verset parle du moyen d’éliminer du coeur tous les éléments défavorables qui s’y trouvent, et qui certes font obstacle à la poursuite de la réalisation spirituelle : demeurer au contact des bhagavatas, du Livre Bhagavata comme de la personne de bhägavata. Tous deux constituent de puissantes forces purificatrices, et leur puissance, séparée ou combinée, suffit à abattre tous les obstacles.

Bhagavata est un représentant direct de la Bhagavan, le Seigneur Suprême et, en accédant à ses souhaits, on peut retirer tout le bienfait qui s’attache à l’étude du livre Bhagavata. Il existe donc des effets miraculeux (ce que l’on appelle miracle) dû au contact avec les bhagavatas. Rechercher leur compagnie ou rester en union de coeur avec eux est un message important. Cela découle aussi de méditation en état de samadhi mais peut être une habitude de vie, qui apporte des effets concrets à déceler. C’est ainsi qu’explique ce verset l’auteur du livre le Srimad Bhagavatam, excellent livre de chevet, tout comme d’autres écritures mais celle-ci constitue la crème tout comme le lait est une nourriture substantielle, la crème en est le dessert. Les dévôts pratiquants savent de quoi il s’agit.

La pratique apporte concrètement des éléments de bienfaits, car plus la pratique se fait et plus elle portera des fruits de bienfaits concrets de diverses manières : plus de force morale, plus de persévérance et bien d’autres bienfaits ayant des conséquences sur la vie matérielle en cette sphère du monde, où le cheminement peut être parsemé d’épreuves aux esprits sensibles. Comprenez, que ce qui est mis ici ne se veut pas plagiat mais explique de manière globale, un précieux  message datant de milliers d’années.

 

VERSET XVIII

Par l’écoute suivie du Srimad Bhagavatam, comme par le service assidu offert aux purs dévôts du Seigneur, tout ce qui trouble le coeur du bhakta devient pratiquement néant, et le service d’amour offert au Seigneur Suprême, qu’on glorifie par des hymne   sublimes, s’y établit, alors irrévocables. 

 

VERSET XIX

Aussitôt qu’en le coeur s’établit fermement le service de dévotion, les influences de la Passion et de l’Ignorance, comme la concupiscence et l’avidité, s’y effacent. Le bhakta (dévôt) se fixe alors dans la Vertu et trouve le parfait bonheur.

 

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