15. ☼☼~~Voyage au Désert de Gobi, Mongolie, Chine, Tibet~~☼☼

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LE DESERT DE GOBI

SA SITUATION GEOGRAPHIQUE

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G.T. Tsybirov débute son voyage vers le Tibet, en traversant des régions de grandes importances pour notre recherche concernant deux ouvrages dont il est parlé dans cet espace « La vie des maîtres » et « La vie secrète de Jésus ». Il part à dos de chameaux exprimant qu’il est plus simple de s’asseoir sur les bagages qui sont des supports beaucoup plus confortables pour les longs voyages.

Il se rend au Désert de Gobi décrivant d’abord leur arrêt au puit d’Ata Chinda afin de s’approvisionner en eau. Il décrit le désert comme étant une steppe où certains endroits sont arides ou pourvu d’une végétation et eaux de ruissellement.

L’Europe n’apprit que tard l’existence du Désert de Gobi et ce, au XIIIème siècle dans une période où les hordes de Mongol dirigée par Dinghiz Khan pillait toute l’Asie. Un intrépide missionnaire, le Père Gerbillon et quelques savants russes et anglais mais c’est surtout le général Prievalsy qui y fit de grandes découvertes mais il mourut prémanturément et fut donc ravi à la science. La moitié du Désert de Gobi est reconnu Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1994 et ceci n’est pas un hasard car de nombreux vestiges prestigieux historiques s’y trouvent parfois gardant leur mystère

Vous trouverez sur ce site des éléments intéressants sur le désert de Gobi ICI

Il se rend ensuite près du puit de Khar Tolgoï à la Colline Noire. 

Une région dont on découvrira des mines d’or et de cuivre donnant un aspect coloré particulier au paysage et aux collines. Actuellement, ces mines sont exploitées et constituent un intérêt financier très important.

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Stupa datant de plusieurs siècles dans le désert de Gobi. 

Désert de Gobi Les tombes d’Astana C’est l’ancienne nécropole de Gaochang. Les tombes datent du 3ème au 8ème s. Plusieurs corps momifiées en très bon état y ont été trouvés. Seules trois tombes sont ouvertes au public. Cette photo ci dessous vient du site ICI et vous trouverez d’autres photos ICI 

Cependant, reste un mystère par rapport à des données de Baird Spalding concernant un temple, un site remarquable qu’il décrit comme se trouvant dans le désert de Gobi. Seulement, nous avons remarqué dans ce récit parfois des données qui ne correspondent pas complètement au lieu dont il parle dans son fameux livre « la vie des maîtres ». A t’il voulu volontairement taire les lieux précis des « trésors » dont il trouva avec le groupe de chercheurs et constinuAnt des richesses inestimables antant sur le plan esthétique mais contenant des richesses inestimable de matière précieuse. Il est donc très difficile de trouver les vestiges du désert de Gobi : cela peut aussi être expliqué par le mystère qui entoure « le patrimoine mondial de l’humanité » reconnu par l’Unesco dans le désert de Gobi mais qui semblent innaccessibles y compris sur la toile. Il est possible de faire des recherches via google maps si elles apparaissent réellement… Donc, je dois me limiter dans ces recherches : avis à ceux qui souhaitent les faire.. Et je serai très heureuse d’avoir des renseignements complémentaires si cela est possible … Avis aux amateurs.

ici nous sommes entrés en Chine ci dessous

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Vallée de Turfan, plus bas que le désert Gobi et déjà en Chine (la route de la soie)

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Il se rend à KhüberDersTebchi bulungArshand, la source du Kharmagt, la steppe infinie, le versant sud de la châine du Shankhaï puis prend la direction du sud ouest vers les monts Khoïor Öndör.

Il longe ensuite le monastère de Doloon shig zagiin süm appartenant territorialement au du de la province de Gobi. Il passe un moment, une nuit à Budargyn shine us, la steppe, le lit asséché du Dund gün, le sud de Noyon ells, la steppe, le puits aryn gashuun khudag. Le puits Dobu yin zagh, l’ALASHAN dans le district du Ravin Rouge de la Mongolie du sud.

Remarque : il est très difficile de retrouver les lieux cités dans le paragraphe précédent car l’orthographe a changé depuis hélàs. Il faudrait faire des investigations massives, ce dont je ne peux me charger : avis aux amateurs.

Je vous propose de voir ce site sur le désert de Gobi  en cliquant ICI http://www.madeleine-et-pascal.fr/spip.php?rubrique118

Le 15 décembre il passe la nuit non loin du monastère de Tukumun süm de la cour du prince de l’Alashan. On dit que ce monastère a été fondé par le VIème Dalaï Lama Tsangyang Gyamtso (1683 à 1706). 200 moines y résidaient. Nous retrouvons ce monastère ci dessous avec illustration.

Voici un article qui démontre la complexité des recherches au vu des changements géopolitiques.

Fils d’un prince Alashan, un Mongol devenu Chinois. Pékin, 1874

Description

En 1874-1875, le gouvernement russe organisa une mission commerciale et de recherche en Chine. Cette mission avait pour objectif de trouver de nouvelles routes terrestres vers le marché chinois, d’étudier les perspectives d’une expansion commerciale, de rechercher des sites pour l’installation de consulats et d’usines, et de recueillir des informations sur la révolte de Dungan qui faisait alors rage dans les provinces de la Chine occidentale. Composée de 9 hommes et dirigée par le lieutenant-colonel Iulian A. Sosnovskii de l’état-major général de l’armée, cette mission comprenait également un topographe, le capitaine Matusovskii, un responsable scientifique, le Dr Pavel Iakovlevich Piasetskii, des interprètes chinois et russes, trois sous-officiers cosaques et le photographe de la mission, Adolf Erazmovich Boiarskii. La mission se déroula de Saint-Pétersbourg à Shanghai, en passant par Oulan-Bator (Mongolie), Pékin et Tianjin. Elle longea ensuite le fleuve Yangtsé et suivit la grande Route de la soie à travers l’oasis Hami et jusqu’au lac Zaysan, de retour en Russie. Adolf Erazmovich Boiarskii prit quelque 200 photographies, ce qui constitue une source unique pour l’étude de la Chine de cette période. La plupart des photographies prises durant cette mission apparaissent dans cet album, lequel rejoignit par la suite la collection Thereza Christina Maria, rassemblée par l’empereur Pierre II du Brésil qui en fit don à la Bibliothèque nationale du Brésil.

Voici une photo du fils du Prince Alashan 

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Nous pouvons constater que de nombreux temples Tibétains furent créés eh dehors du Tibet et que le bouddhisme tibétain était déjà bien connu d’autres pays et cultures.

La Mongolie aujourd’hui.

« La Mongolie est un pays délimité par la Chine et la Russie. Il est connu pour ses grandes étendues sauvages et sa culture nomade. Oulan-Bator, sa capitale, s’articule autour de la place Gengis Khan, qui porte le nom de l’illustre fondateur de l’Empire mongol des XIIIe et XIVe siècles. La ville comporte aussi le musée national de Mongolie, où sont exposés des objets historiques et ethnographiques, et le monastère restauré de Gandantegchinlin, qui date de 1830 ».

Carte géographique de la Mongolie d’aujourd’hui :

13. ☼~~☼LES TEMPLES TIBETAINS ☼~~☼

 

13. ☼~~☼LES TEMPLES TIBETAINS ☼~~☼

Monastère d’Urgelling, lieu de naissance de Tsangyang Gyatso près de Tawang 

 dans l’actuel État indien de l’Arunachal Pradesh

13. ☼~~☼LES TEMPLES TIBETAINS ☼~~☼

Tsangyang Gyatso

 

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