46. Le corps est un oeil

Image associée

En poursuivant les explications du Srimad Bhagavatam, nous découvrons le terme tapasyä signifiant austérité qui ne sont pas le fruit d’une passion. En vérité, il ne faut pas subir volontairement des désagréments corporels afin de connaître Vasudeva. C’est ce que dit le traducteur de cet enseignement. Seule la Vertu permet d’atténuer les trois formes de souffrance matérielle. Vasudeva n’est nul autre que le Seigneur Suprême, Sri Krsna, dans sa Forme primordiale car le Seigneur originel se déploie en un nombre infini de formes. Ce qui lui rendent possible Ses diverses puissances, également innombrables. 

Les êtres distincts doivent être également comptés parmi les émanations ; ceux qui procèdent de la puissance interne du Seigneur sont éternellement libérés, ceux qui sont liés à Ses énergies matérielles éternellement conditionnés. Or, le but du développement de la connaissance, le but des austérités, des sacrifices et de toute autre activité devrait être de changer l’infuence qui agit présentement sur nous, à savoir l’emprise de l’énergie externe du Seigneur. Il faut donc faire l’effort nécessaire pour nous placer sous le signe de l’énergie spirituelle.

Le but de l’existence est de placer l’esprit (qui s’élargit) sous l’influence de la puissance interne, et que cette infuence se manifete par leur engagement constant au service du Seigneur Dieu duquel, ils ne dévient plus. Tous les textes védiques confirment ceci. Nul ne devrait troubler l’esprit par de l’action intéressée ou d’arides spéculations sur le savoir spirituels et absolu ; mais au contraire, chacun doit adopter sans délai le service d’amour subliment qu’on offre au Seigneur. Seul Dieu compte et le Seigneur Se situe toujours au delà des lois de l’Univers matériel. Telles sont les explications agrégée des versets XXVIII et XXIX.

SRIMAD BHAGAVATAM issu de la langue SANSKRITSRIMAD BHAGAVATAM issu de la langue SANSKRITSRIMAD BHAGAVATAM issu de la langue SANSKRIT

VERSET XXX

La position du Seigneur demeure toujours spirituelle et absolue, au delà de toute influence matérielle, car les énergies de cause et d’effets nécessaires à la manifestation de l’Univers matériel trouvent en Lui leur origine. Jamais donc, les gunas ne L’affectent. Son Etre, Sa Formes, Ses Activités, Son Entourage, toute cela existait bien avant la création matérielle. Tout en Lui est purement spirituel, et Il n’a rien à voir avec les caractères propres à l’Univers matériel, caractères qualitativement distincts de Ses Attributs spirituels.

Les gunas sont des divinités : guna peut signifier aussi « être éveillé ».

Son sens premier, concret, désigne généralement un « fil » ou une « corde », et plus spécialement la « corde d’un arc ou d’un instrument de musique ». Un usage abstrait de ce mot peut se traduire par « qualité », soit au sens objectif de « propriété » ou « attribut », soit au sens subjectif de « mérite » ou de « vertu ». Dans un contexte de classification, un guṇa désigne un « élément secondaire », une « catégorie » voire une « espèce ». Par extension au domaine culinaire, il est un « plat accessoire », un « condiment » ou une « sauce ».

L’adjectif guṇavant illustre la diversité de ce champ sémantique et qualifie, selon le contexte, un objet « muni d’une corde », un être « doué de qualités », ou une personne « vertueuse ».

Le champ sémantique de ce mot intègre aussi deux termes abstraits : le nom neutre guṇatva qui signifie « le fait d’être ou de servir de corde », et le nom féminin guṇatā que le français traduit par « subordination ». 

 SRIMAD BHAGAVATAM issu de la langue SANSKRITSRIMAD BHAGAVATAM issu de la langue SANSKRITSRIMAD BHAGAVATAM issu de la langue SANSKRIT

VERSET XXXI

Après la création, par Lui, de la substance matérielle, le Seigneur y pénètre en Se déployant. Mais bien qu’il semble impliqué dans les mouvements de l’Univers, où Il apparaît comme un simple être créé, Il demeure toujours parfaitement éclairé, maintient toujours Sa Position spirituelle et absolue.

« L’âme conditionnée souffre ou jouit des conditions matérielles où elle se trouve,le Seigneur n’en n’est pas affecté et maintient Sa position spirituelle et absolue et demeure innafecté par l’environnement matériel.

Le Seigneur, pour Sa part, accompagne, sous la forme du Paramatma en tant qu’Ami éternel de tous les êtres. 

L’être distinct a oublié son identité réelle et, dans sa condition matérielle, se laisse emporter par un tourbillon des actes intéressés. Mais le Seigneur, conserve toujours le savoir spirituel dans sa plénitude. Telle est la différence entre l’Ame Suprême et l’âme est conditionnée. L’Ame conditionnée se voit soumise aux lois de la nature, tandis que l’Ame Suprême demeure le Maître de l’énergie matérielle » : voici ce qu’exprime le traducteur du verset en l’expliquant.

Les mondes intérieurs et extérieurs

Les termes sanskrits utilisés ont diverses définition. Le mot Akasha, dans ce document est utilisé dans divers contextes. Une vérité émerge de ce document exceptionnel. Si les scientifique alliait vie spirituelle, méditation ; ils auraient la capacité de faire plus de découvertes avec les mondes spirituels, les planètes spirituelles et ses habitants. La vue matérialiste ne permet pas d’accéder à des données se trouvant dans les connaissances de tous les tiroirs se trouvant dans l’akasha qui ressemble à une bibliothèque possédant des tiroirs à l’infini et la connaissance suprême de toutes les données du créé. L’akasha pourrait être désigné comme la connaissance de Dieu, Seul lui sait tout. Par l’union, il est possible d’accéder à la connaissance et de pénétrer les mystère du créé y compris matérialisé. Car ce qui est immatériel peut se matérialiser selon ses propriétés et capacités. Le ki shi ou Qi, chi est très bien expliqué dans ses divers aspects. Puisez dans sa sagesse intérieure permet des capacités positives pouvant transformer de manière à rendre la vie épanouissante et remettre les énergies à leur juste place et à recevoir les instructions de la Connaissance dans les petites choses et les grandes choses.

Certaines espèces n’ont pas accès à ces données et ont un fonctionnement destructeur. L’esprit rationnel ne pense pas à se relier à la spirale de vie. Se connecter à la Source permet l’harmonie comme l’ont fait certaines civilisations parfois appellées « arrièrées » commme les indiens d’Amazonie possédant des connaissances importantes de la nature leur permettant d’utiliser les plantes à des fins de soins et de nourritures tels que la nature fut conçue pour cette fonction et d’autres fonctions. Ce document concentre une série de données par l’intérieur et l’extérieur : les deux permettent l’élévation spirituelle ayant des conséquences sur la vie matérielle. Ce document réunis 4 parties.

© Colinearcenciel

Abonnez vous, vous recevrez tous les articles gracieusement par la Newsletter ou partagez sur facebook.

SRIMAD BHAGAVATAM issu de la langue SANSKRITSRIMAD BHAGAVATAM issu de la langue SANSKRITSRIMAD BHAGAVATAM issu de la langue SANSKRIT

Laisser un commentaire