3. Le vrai portrait de Jésus Christ

L’apparence physique de Jésus Christ, semble d’après wikipédia, impossible à connaître car, il est affirmé qu’il n’existe aucun document fiable le décrivant. Or, il existe de nombreux documents de l’époque concernant la vie de Jésus et ce, au Vatican et ils devraient pour tous les chrétiens et pas seulement pour eux ((afin de relater des réalités historiques), être publiés afin que tous sachent. Cependant, ces documents demeurent secrets et consultables uniquement par certains privilégiés.

Il se fait que j’ai pu rencontré l’un de ces privilégiés, à un moment de ma vie où il me fut extrêmement utile et me révéla ses découvertes.

Nous savons également par la description de ceux qui ont vu Jésus qui est apparut tant de fois au cours des siècles, quelle était l’apparence de Jésus. Soeur Faustine en fit un portrait certes si peu en correspondance avec sa beauté. Elle le dit elle même. Voyons une lettre qui serait fausse selon Wikipédia concernant cet Être merveilleux.

La description de Jésus Christ est aussi celle d’un homme où il est dit qu’il avait des reflets bleus dans ses cheveux ce qui peut être en contradiction avec le fond de ses cheveux plutôt auburn. Il est souvent représenté avec ce type de chevelure. Mais toutes les représentations de son portrait peuvent approché sa beauté mais aucune ne réussit à réellement le peindre ou le sculpté dans sa Majesté indiciblement Vénérable et Sublimement belle.

Je m’y essayerai si j’en ai encore le temps puisque je fus une excellente portraitiste, je le fus et lorsque je me suis attardée en France à l’ancien Palais des Papes à Avignon, les artistes auraient aimé que je reste pour réaliser des portraits car il y en avait pas outre les caricaturistes nombreux et j’aurai pu donc assurer notre existence dans ce travail merveilleux. Les circonstances ont faites que j’ai dû partir urgemment de cette ville que j’aimais beaucoup et de cette France que j’aime également. Dire que je pourrai réussir n’est pas du tout gagné ! En réalité il n’existe aucune image parfaite et exacte du visage du Christ ! Les plus approchantes sont les images peintes des Mormons.

Ancienne carte postale d’église en provenance d’Italie

Source

LETTRE DE   FABRICIUS  PUBLIUS  LENTULUS 
Gouverneur de la Judée sous le règne de Tibère César au  SÉNAT  ROMAIN.

  
     Publius Lentulus à 
  TIBÈRE  EMPEREUR 


            – Salut –

    Voici. ô Majesté. la réponse que tu désires. 
    Il est apparu un homme doué d’une puissance exceptionnelle, on l’appelle le grand prophète; ses disciples l’appellent FILS DE DIEU, son nom est JÉSUS-CHRIST. En vérité, ô César, on entend raconter chaque jour, des choses merveilleuses de ce Christ qui ressuscite les morts, guérit toute infirmité et étonne toute Jérusalem par sa doctrine extraordinaire. Il a un aspect majestueux et une figure rayonnante pleine de suavité; de manière que tous ceux qui le voient sont pénétrés d’amour et de crainte à la fois. On dit que son visage rosé à la barbe divisée par le milieu est d’une beauté incomparable et que personne ne peut le regarder fixement sans en être ébloui.

   Par ses traits, ses yeux bleu ciel, ses cheveux châtain clair, il ressemble à sa mère qui est la plus belle et la plus douce des femmes que l’on ait jamais vu dans ces contrées. 

Son langage précis, net, grave, inattaquable est l’expression la plus pure de la vertu, d’une science qui surpasse de beaucoup celle des plus grands génies. 

   Dans ses reproches et dans ses réprimandes il est formidable; dans son enseignement et ses exhortations il est doux, aimable, attrayant, irresistible. Il va nu-pieds et tête-nue; à le voir de loin, on rit, mais à sa présence on tremble et l’on est déconcerté. On ne l’a jamais vu rire, mais on l’a vu pleurer. Tous ceux qui l’ont approché disent qu’ils en ont reçu santé et bienfaits; néanmoins je suis harcelé par des méchants qui disent qu’il nuit grandement a Ta Majesté, parce qu’il affirme publiquement que les rois et leurs sujets sont égaux devant DIEU. Commande-moi donc, Tu seras promptement obéi.

P.Lentulus.  proconsul romain en Judée

.

La lettre de Lentulus est considérée comme apocryphe pour un certain nombre de raisons. Aucun gouverneur de Jérusalem ou procureur de Judée n’est connu pour avoir été appellé Lentulus et un gouverneur romain ne se serait pas adressé au Sénat de la manière représentée. Cependant les actes du divin Augustus énumèrent un Publius Lentulus comme étant élu en tant que consul romain pendant le règne d’Augustus. En outre, un écrivain romain n’aurait pas utilisé les expression « prophète de vérité » fils des hommes » ou « Jésus Christ ». Les deux premiers sont des idiomes hébreux et le troisième est tiré du Nouveau Testament. La lettre donne donc une description de Jésus telle que la piété chrétienne l’a conçu.

La lettre a été imprimée pour la première fois dans  la « Vie du Christ » par Ludolphe de Chartreux (Cologne 1474) et dans l’introduction aux oeuvres de Saint Anselme » (Nuremberg, 1491). Mais ce n’est ni l’oeuvre de Saint Anselme ni celle de Ludolphe. Selon le manuscrit, un certain Giacomo Colonna a trouvé la lettre en 1421 dans un ancien document romain envoyé à Romme par Constantinople. Il doit avoir été d’origine grecque, et traduit en latin au cours du treizième ou quatorzième siècle, bien qu’il ait reçu sa forme actuelle aux mains d’un humaniste du quinzième et seizième siècle. Christophe Mylius, le bibliothécaire du XVIIIème sicèle d’Iéna a déclaré que la lettre était écrite en lettres d’or sur papier rouge et richement liée, mais perdue.

Friedrich Münter lettré du XIXème siècle, croyait pouvoir retracer la lettre jusqu’à l’époque du Dioclétien, mais les érudits d’aujourd’hui ne l’acceptent généralement pas. La lettre se lit en traduction :

« Lentulus, le gouverneur des Jésuralemites au Sénat et au peuple romain « 

« Salutation.

Il est apparu de nos jours,  un homme d’une grande puissance (la vertu), appellé Jésus Christ. Les gens l’appelle prophète de la vérité, ses disciples « fils de Dieu ». Il ressuscite les morts et guérit les infirmités. C’est un homme de taille moyenne (statura procerus, mediocris et spectabilis) : il a un aspect vénérable, et ses spectateurs peuvent à la fois le craindre et l’aimer. Ses cheveux sont de la couleur de la noisette mûre, jusqu’aux oreilles, mais au dessous des oreilles ondulées et frisées, avec un reflet bleuté et lumineux qui coule sur les épaules. Il est séparé en deux sur le dessus de la tête, après le modèle des nazaréens.

Son front est lisse et très gain avec un visage sans ride ni tache, embelli d’un teint légèrement rougeâtre. Son nez et sa bouche sont parfaits. Sa barbe est abondante, de la couleur de ses cheveux et divisée au menton. Son aspect est simple et mature, ses yeux sont changeants et lumineux. Il est terrible dans ses réprimandes,  doux et aimables dans ses admonitions gai et sans perdre sa gravité. Il n’a jamais été connu pour rire, mais souvent pour pleurer. Sa taille est droite, ses mains et ses bras beaux à voir Sa conversation est grave, peu fréquente et modeste. Il est le plus beau parmi les enfants des hommes ».

Différents manuscrits varient du texte précédent dans plusieurs détails. Ernst von Dobschütz, énumère les manuscrits et en fait une critique. La description est en accord avec la soit disant image d’Abgar de Jésus et il est également d’accord avec le portrait de Jésus Christ dessiné par Nicéphore, Saint Jean Damascène et le Livre des Peintres (du Mont Athos).

Voyons en premier lieu, ce que l’on raconte sur Jésus Christ et Abgar d’Edesse. Avant la crucifixion de Jésus Christ un roi appellé Abgar V Ukkâma  « Abgar V le noir » en araméen règnait sur le royaume d’Osroène qui avait sa capitale à Edesse actuellement Urfa en Turquie.

Edesse était une forteresse de force considéralbe très proche de l’Euphrate. Elle était un carrefour important en routes pour les caravanes convoyant les marchandises en provenance de la Chine et de l’Inde vers l’Ouest. Il y a une route nord sud reliant les hauts plateaux arméniens avec Antioche et Edesse à l’époque figure pari les bonnes places sur la scène internationale.

Dans les archives d’Edesse existe une correspondance entre Jésus Christ et le roi Abgar et cela est raconté par un historien : Eusède l’évêque de Césarée. Eusède a copié ces lettres. Il existe une copie en araméen, en syriaque et en grec. Cette correspondance est la lettre du roi et la réponse qui fut dictée par Jésus Christ. Le roi Abgar souhaitait que Jésus vienne près de lui. Il confia son courrier à Hannan son coursier et homme de confiance afin de l’apporter à Jésus Christ. Voici le contenu de sa lettre :

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Le royaume d’Osroène

Voici le texte de cette correspondance :

 » Abgar Oukkama à Jésus, le bon médecin qui est apparu dans le pays de Jérusalem, salutation. J’ai entendu parler de toi et de tes guérisons effectuées, que tu n’utilises ni médicaments ni racines, mais par ta parole, tu fais voir les aveugles et marcher les boiteux, tu purifies les lépreux, fais entendre les sourds. Comment par ta parole, tu guéris les esprits des malades et ceux qui sont tourmentés par les démons, et que tu ramènes les morts à la vie. Et après avoir entendu toutes ces choses que tu fais, je conclus que l’une des deux choses doit être vraie : soit tu es descendu du ciel, ou bien tu es le fils de Dieu. Je t’écrit donc pour te demander si tu veux prendre la peine de venir à moi, qui t’adore, et guérir tout le mal dont je souffre, selon la foi que j’ai en toi. J’ai entendu dire que les Juifs murmurent contre toi et te persécutent, qu’ils cherchent à te crucifier pour te détruire. Mais je possède une petite ville, elle est jolie et assez grande pour nous deux à vivre en paix. « 

Quand Jésus reçu la lettre, dans la maison du grand prêtre des juifs, il dit à Hannan, le secrétaire,  » Va, toi, et dis à ton maître qui t’a envoyé à moi  » :

 » Heureux es tu qui a cru en moi sans m’avoir vu. Car il est dit à mon sujet, que ceux qui m’ont vu, ne veulent pas croire en moi, et que ceux qui ne m’ont pas vu, veulent croire et être sauvés. Mais au regard de ce que tu m’as écrit, que je devrais venir à toi, il est nécessaire pour moi de remplir toutes choses ici pour lesquelles j’ai été envoyé, et après je monte à nouveau vers mon Père qui m’a envoyé. Quand je serai monté auprès de lui, je t’enverrai un de mes disciples, qui peut guérir toutes tes souffrances et te redonner la santé, et convertir tous ceux qui sont avec toi pour la vie éternelle. Et ta ville sera bénie à jamais, et l’ennemi ne la prendra jamais. « 

Abgar dépêcha Hannan (ou Ananias) avec une lettre, dans laquelle il demandait à Jésus de venir à Édesse pour le guérir. Hannan était un peintre, et au cas où Jésus refuserait de venir, Abgar lui demanda de faire son portrait et de le lui apporter. Hannan trouva Jésus, mais il était entouré d’une grande foule et il ne put l’approcher. Il voulut faire son portrait, mais n’y parvenait pas  » à cause de la gloire indicible de son visage qui changeait dans la Grâce « . Voyant qu’ Hannan désirait le peindre, Jésus demanda de l’eau, lava et essuya son visage avec un linge et sur ce linge ses traits restèrent fixés. C’est pourquoi cette image est connue sous le nom de  » Mandylion  » (Mouchoir). Jésus le remit à Hannan et lui dit de le porter avec une lettre à Abgar. Dans sa lettre Jésus refusait d’aller à Édesse, car il avait une mission à accomplir.

Quand Abgar reçut le portrait, il guérit de sa maladie. Sur le portrait miraculeux de Jésus, Abgar fit écrire ces paroles :  » O Christ Dieu, celui qui espère en Toi ne périra pas « . Il fit enlever une idole qui se trouvait dans une niche au-dessus d’une des portes de la ville, et y fit placer la Sainte Image.

Icône d’Abgar tenant le Mandylion – Encaustique – Xème siècle – Monastère chrétien orthodoxe Sainte-Catherine – Égypte

L’image refait surface en 525 AD, lors d’une crue du Daisan, affluent de l’Euphrate, dont l’inondation détruit la ville d’Édesse. Cette crue est mentionnée dans les écrits de Procope de Césarée.

Lors de la reconstruction de la ville, est découvert un linge, portant les traits d’un visage, caché dans une niche maçonnée au-dessus de la porte ouest. Ce linge est alors identifié au portrait offert à Abgar. L’empereur Justinien fait construire, en son honneur, la basilique Sainte-Sophie d’Édesse, qui conserve le linge enfermé dans un reliquaire, à l‘intérieur d‘une chapelle à droite de l’abside.

En 544, durant le siège de la ville par le roi perse Chosmès, à peine le Mandylion est-il montré du haut des remparts, que c’est la débâcle parmi les assiégeants.

Au cours de la période allant de 544 à 944, la notoriété du Mandylion se répand dans tout l’empire de Byzance. L‘autorité centrale ne peut l’ignorer.

Dans la dernière année de son règne, l’empereur romain Lécapène Ier (920 à 944) envoie le général Jean Curcas à Édesse. Après un siège rapide, il contraint la ville à céder le Mandylion. Au cours d’un voyage triomphal, le linge est transporté à Constantinople, où il arrive le 15 août 944. Il sera conservé dans la chapelle du Phareet jusqu’en 1204.

En 1146, les Turcs s’emparent d’Édesse et la basilique Sainte Sophie est détruite.

Le tissu disparaît de Constantinople au cours de la quatrième croisade en 1204 et réapparaît en tant que relique, conservée par Saint Louis, à la Sainte Chapelle.

Il disparaît définitivement lors de la Révolution française.

Copie du Mandylion, au centre de l’immense croix ornée de joyaux qui se trouve au milieu de l’abside de la Basilique Saint Apollinaire in Classe à Ravenne

La basilique Saint-Apollinaire in Classe est une basilique du VIème siècle, située àClassis (en italien : Classe), ancien port antique de Ravenne en Italie, aujourd’hui ensablé.

Commencée par l’évêque Ursicinus, la basilique fut inaugurée le 9 mai 549 par l’évêque Maximien. Les travaux ont été financés par le banquier Julianus Argentarius.

Le terme in Classe vient de l’antique ville romaine de Civitas Classis, signifiant « ville de la flotte », qui s’était développée autour du port de Ravenne et qu’Auguste avait renforcée pour la défense de toute la mer Adriatique. La ville avait une population assez homogène de migrants originaires des provinces orientales de l’Empire byzantin, dont faisait partie Apollinaire de Ravenne, venu d’Antioche à la fin du Ier ou au début du IIème siècle.

Abside de la Basilique Saint Apollinaire in Classe

Le point au centre de la croix est la copie du Mandylion.

Christ barbu – Peinture murale dans les catacombes romaines de Commodilla sur la Via Ostiensis – Rome – fin du IVème siècle

Extrait de ce site : ICI

Quant à la lettre Publius Lentulus : elle a eu une publication généralisée et prise comme témoin occulaire pendant une longue période. Elle a également donné divers artistes, tels que Dirk Bouts, un modèle sur lequel est basé le visage et l’apparence de Jésus Christ. Voici un portrait du Christ de Dirk Bouts : remarquez la position des mains : cette position des mains, Jeanne d’Arc l’utilisait pour prier. Or, dans cette position particulière dans la prière, le creux des paumes de chaque main se rejoigne pour former une énergie du Ki ou Shi dont nous parlons dans la rubrique du monde mystique. Cette position des mains n’est certainement pas mise par hasard, elle invoque le nom de « Père », Dieu en tant que Père et Créateur de sa créature : »celui en qui tout se confie en tout et pour tout ». Le geste ici est évoqué, mais à son début, les mains se nouent fermement et tranquillement.

La souffrance du Christ est importante car la couronne d’épine suit d’atroces sévices et tortures physiques. Ses lèvres sont serrées et sèches. Peinture représentant le Christ. Il est faux d’exprimer qu’il n’existe aucun document sur la vie de Jésus de Nazareth, car ces documents ne sont pas mis à la portée du public. Notamment, tout le procès fut écrit ainsi que toutes les tortures qu’il a subit et ce non pas par des chrétiens mais par les autorités de l’époque.

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Un autre portrait du Christ du même peintre où l’on voit que les clous ont été enfoncés au creux de chaque main dans ces points d’énergie du Ki ou Shi ou Chi. Terrible souffrance infligée dans la crucifixion, où les crucifiés pendus par les mains et sans support pour les pieds également cloués, mourraient étouffés dans d’atroces souffrances, malgré cela le Christ a pu parlé. « Père je remets mon âme entre tes mains » furent ses derniers mots sur la croix. Mais ensuite, Il continua à parler puisqu’ils revint voir ses disciples et n’abandonne aucune âme qu’il aime  et voit et ce à l’infini.

Image associée

Les plus grands peintres n’ont pu rendre complètement ce rayonnement de Jésus Christ, sa beauté extraordinaire remplie d’amour et d’humilité et de fermeté, pourvu d’une autorité divine. Son aspect est harmonieux, ses yeux bleus et ses cheveux sont décrits comme châtain blond mais il est une description d’origine qui les décrivent comme auburn. Il porte des cheveux mi longts ondulés et une barbe relativement fine. Les plus beaux portraits relevés sont notamment ceux de Léonard de Vinci et voici une série de portraits approchant son aspect physique. Voici le portrait de Soeur Faustine réalisé sur la demande de Soeur Faustine béatifiée par Jean Paul II.

Apparence physique de Jésus Christ
Apparence physique de Jésus Christ
Apparence physique de Jésus Christ

Auteur inconnu (si tel n’est pas le cas, faites le moi savoir)

Apparence physique de Jésus Christ

Ci dessous le Christ Cosmique

Ci dessous le Christ Jésus selon Léonard de VINCI, inventeur, visionnaire, peintre, rempli de dons.

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Marie Madeleine de Léonard de Vinci

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Sainte Anne de Léonard de Vinci

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Christ enfant et la vierge Marie de léonard de Vinci

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Remarquons que ces portraits du Christ ont une similitude y compris dans la couleur des cheveux. D’autres documents existeraient en Orient sur la période « cachée » de la vie de Jésus Christ dans des lieux tels que le Potala au Tibet, signalé il y a plus d’un siècle : ces documents doivent être nombreux selon les témoins, avec de nombreuses copies et très prisés. Il mesurait selon des documents d’époque 1 m 68. Les yeux bleus sont confirmés par de nombreuses apparitions de Jésus dans le monde entier. Il porte souvent une robe blanche écrue avec les manches évasées. Certains l’auraient aperçu dans un engin interplanétaire ce qui pourrait être selon la parole qui fut la sienne « Mon royaume n’est pas de ce monde » Il participe à la Vie Cosmique en tant que Fils de Dieu, du Créateur. Et tout comme il est certain que nous ne sommes pas les seuls être vivants dans l’Univers.

J’ajoute que son aspect est inscrit en toutes créatures du Cosmos. Qui Le rencontre Le reconnaît. Notre âme en sait plus que notre intellect à ce sujet. Car les créatures ont reçu le souffle de Dieu. Dieu est un nom donné à la force créatrice, l’Intelligence suprême et la Connaissance de tous les mécanismes de l’Univers, le plus Discret des discrets est connu de tous et bien Vivant.

Le matérialisme excessif aveugle. L’impression pour l’humain qu’il est une force à lui seul et une puissance égotique centrée sur ses sens physiques, pesants et limités, faisant de lui la pire des bêtes sauvages et les plus pervers sous influence négative provenant du mystère de la chute. Le discernement est une qualité à travailler pour reconnaître qui est qui. Le trompeur régit le monde où Jésus disait qu’il n’était pas d’ici ce qui est exactement la Vérité. « Mon royaume n’est pas de ce monde », « ce monde est dominé par le mal » ou « par Satan ».

Ces notions sont subtilement exprimée par la culture et spiritualité tibétaine ou psychologie de leur crû où toute la vie est consacrée aux pratiques mystiques et à la méditation permettant la libération de la trame ou ce que l’on nomme « la matrice », un enfermement dans un système dont le but est la domination et la fascination ou ce que l’on peut appeller le « Samsara » ou l’Illusion.

La vie réelle se trouve au delà du corps, le corps étant un support à respecter et à soigner afin de réaliser ce qui doit se faire dans la contribution de l’amélioration profonde vers l’Ouverture  à ce qui Est et Demeure au delà de toute apparence. Le mensonge domine et les mondes illusoires égarent. Mais si je suis en train d’écrire ces mots c’est par l’Amour reçu non pas des hommes, du monde mais ultimement celui de cette Lumière Vivante éclairant les jours ici bas, parfois des jours et des années difficiles de par la division règnant sur cette sphère, les êtres sensibles particulièrement qui portent en eux la bonne volonté et une conscience ouverte s’efforce de faire au mieux les tâches dont ils ont la responsabilité.

  © Coline Arcenciel ou Colinearcenciel, novembre 2017
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