3. L’Antarticque et l’opération HighJump (REVELATION DIVULGATION EVEIL)

Situons bien l’Antarticque et voyons si tout cela est plausible, du moins ce que l’histoire officielle nous en dit. Voici une carte du monde de Ptolémée sur laquelle il situe l’Antarticque.

L’histoire du continent antarctique est née avec les hypothèses concernant l’« équilibre » de la Terre, celui-ci expliquant sa forme. Durant l’Antiquité, les anciens Grecs dont le philosophe Aristote estiment que la Terre est une sphère symétrique ayant nécessairement un point d’équilibre appelé « pivot » (polos en grec) de part et d’autre de l’équateur.

C’est ainsi que l’Arctique se trouve un opposé et que l’Antarctique est pour la première fois évoqué.

Emprunté du grec ancien ἀνταρκτικός (antarktikós), le mot « Antarctique » se forme à partir de deux termes : ant(i)- (ἀντί-) c’est-à-dire « ce qui est contraire, opposé » et arktos (ἀρκτικός dérivé de άρκτος) qui signifie « ours », en référence à la constellation  indiquant le nord appelée «Petite Ourse ».

Dans l’histoire de ce territoire, il est dit qu’au Au XIXème siècle, de nombreux bateaux viennent chasser le phoque le long des rives du continent mais il faut attendre le 21 janvier 1840
 pour que des explorateurs français, plantent leur drapeau sur les terres antarctiques.

Quelques jours plus tard, c’est au tour de la flotte américaine de Charles Wilkes d’y parvenir. Par la suite, en 1839, l’expédition Erebus et Terros est la principale expédition scientifique menée au XIXème siècle  en Antarctique par les Britanniques. Elle comprend des médecins, des naturalistes et des botanistes.

Au cours de cette expédition, en 1841, l’explorateur James Clark Ross traverse l’actuelle mer de Ros et découvre l’île de Ross, le mont Erebus et le mont Terror  portent les noms de deux des bateaux de l’expédition : le HMS Erebus et le HMS Terror. Mercator Coope, quant à lui, accosta en Antarctique oriental le 28 janvier 1853.

Antartique, les navires HMS Erebus et le HMS Terror ,1843

La période qui s’étend de 1895 à 1922 correspond à l’âge héroïque de l’exploration en Antarctique, durant laquelle de nombreuses expéditions sont menées afin de parvenir au pôle Sud.

Ainsi, de 1897 à 1898, l’expédition scientifique belge Belgica,commandée par Adrien de Gerlache de Gomery, passe quinze mois dans les glaces, dont un hivernage complet, le premier en Antarctique. C’est une mission internationale comprenant le norvégien Road Amundsen et l’américain Frederick Cook qui en reviendront tous deux avec une vocation polaire qui en fera de futurs conquérants des pôles, et le polonais Henryk Arctowski, ainsi que le roumain Emil Racovita  qui, le premier, décrit en détail l’éthologie des cétacés, des pinnipèdes et des manchots.

Une expédition française à lieu, une première d’ailleurs aussi le 4 mars 1905. 

L’expédition quitte la péninsule antarctique après un hivernage sans encombre. Il s’agit du premier hivernage d’une expédition scientifique dans les pôles. Les objectifs scientifiques sont dépassés : 1 000 kms de côtes découvertes et relevées, trois cartes marines détaillées, 75 caisses d’observations, de notes, de mesures et de collections destinées au Musée National d’histoire naturelle.

En août de 1908, Charcot part hiverner à l’île Petermann pour sa deuxième expédition polaire. De retour en juin 1910 après un deuxième hivernage, l’expédition est riche en expériences scientifiques : des mesures océanographiques (salinité, sondage), des relevés de météorologie, une étude des marées, une étude du magnétisme, des collections de zoologie  et de botanique confiées au Muséum et à l’Institut océanographique de Monaco. Il rapporte aussi des découvertes géographiques comme le tracé de la terre d’Alexandre et une nouvelle terre, la terre de Charcot. Résultats de l’expédition considérables qui comprennent aussi le relevé cartographique de 2 000 kms  de côtes. Mais Charcot, victime du scorbut, revient considérablement affaibli.

Amundsen participera à la course au pôle Sud géographique, et sera le premier à y parvenir, le 14 décembre 1911, en un temps réduit grâce à l’usage de skis et de chiens de traîneau. Robert Falcon Scott, un Britannique, arrive un mois plus tard et meurt sur le chemin du retour.

Lors de l’expédition Endurance en 1914, le navire britannique Endurance commandé par Sir Ernest Shackleton part avec vingt-huit hommes pour traverser l’Antarctique. Mais le bateau est pris dans les glaces. Tout l’équipage réussit à revenir sain et sauf en traversant océan et montagnes sans vivres et matériel.

Alors qu’en 1928, Sir George Wilkins et Carl Ben Eielson survolent le continent pour la première fois, la troisième  expédition allemande menée par Alfred Ritscher a lieu en 1938 et 1939 et revendique un territoire de 600 000 km2 — la Nouvelle-Souabe — située dans la Terre de la Reine-Maud.

Voilà, les dates données dans le document Above Majestic et, remarquez qu’il s’agissait de la IIIème expédition : on ne parle pas des expéditions précédentes.

De même après la guerre : de nombreux soldats américains sont envoyés en 1946 dans l’Antarctique avec au commandement l’amiral Richard Byrd dans l’opération Highjump qui est la plus importante expédition envoyée à ce jour en Antarctique, composée de 4 700 hommes, treize bateaux dont un porte-avions, vingt-cinq avions, dont deux hydravions Martin PBM Mariner.

Cette opération sera suivie durant l’été austral suivant (1947-1948) par l’opération Windmill. Le but de cette opération était de prendre ce territoire, de l’explorer, d’y faire des recherches scientifiques et autres.

Hélicoptère Sikosky R-4  de la United States Coast Guard  se posant sur le brise-glace  USCGC Northwind durant l’Opération Highjump en1946.

Du 24 novembre 1957 au 2 mars 1958, l’expédition Fuchs-Hillary  traverse pour la première fois le continent par voie terrestre. Le déplacement s’effectue à l’aide d’autoneiges américaines Tucker Sno-cat Corporation.

En 1997, Laurence de la Ferrière  est la première Française à atteindre le pôle sud en solitaire. En 2000, elle réalise la première traversée jamais réalisée, du pôle sud à la Terre Adélie  en passant par la base franco-italienne de Concordia. Elle réalise des carottages, prélève des échantillons qui seront récupérés à la base de Concordia et effectue des mesures de températures et recherche des météorites. 

Le USS Sennet lors de l’opération Highjump

Film d’époque (rare) 1946 Operation Highjump

L’amiral Byrd avec l’expédition de la marine est allé en Antarctique et a découvert qu’une base d’OVNI là-bas les a attaqués et a tué plus de soixante hommes. Les extraterrestres étaient-ils derrière les attaques? Les extraterrestres sont des anges déchus est t’il dit à l’époque.

Ci-dessus, un document russe expliquant la réalité de ce qui s’est passé lors de l’opération américaine Highjump en1946.

Voyez ce document explicite bien la réalité de ce qu’affirme Corey Goode dans Above Majestic : la version officielle de cette opération n’en n’a pas dit mot.

Nous pouvons par cette preuve constaté que tout ce que est exprimé par les témoignages dans ce document sont réelles bien qu’apparaissant de la fiction.

« Highjump en1946, fut une catastrophe de perte de matériel militaire ; les américains furent attaqués par des objets non identifiés dont ils eurent certainement vent de la part des nazis, les perdants de la deuxième guerre mondiale et savaient qu’ils avaient établi des bases souterraines dans l’Antartique (aucun communiqué à ce sujet nul part : tous étaient tenus à ne rien divulguer) : on voit clairement sur le document vidéos ci-dessus, un soldat descendant sous terre et quelques minutes plus tard, passer une barre métallique venant d’un des souterrains pour signaler sa présence et le lieu où les autres soldats pouvaient entrer ; l’on voit alors des soldats américains déblayer la neige et découvrir une entrée ; ensuite un soldat américain sort des objets du souterrain tout fier et tout content : c’était le début de l’expédition militaire américaine venue avec près de 5.000 hommes et beaucoup d’avions et de gros matériaux militaires comme on l’a vue plus haut.

Il m’a été rapporté par des personnes plus âgées que des ovnis traversaient le ciel dont un ingénieur qui avait calculé la vitesse, elle était de 20.000 kms/h dans les années 1920 et 1930. Donc, en effet, les nazis ont bien reçu de la technologie extraterrestres et avaient des contacts importants qui leur a permis de réaliser une progression technologique énorme qui n’est d’ailleurs pas divulguée encore de nos jours sauf de-ci, de-là.

Nous avions besoin de ces documents et d’une version quasi officielle pour connaître les faits tels qu’ils furent, ainsi les anciens parlent et écrivent leurs souvenirs.

Voici la suite de l’Opération Jump avec une autre « opération ».

Le projet Icework est aussi un projet qui possède sa documentation.

Voici le témoignage de l’Amiral Byrd de ce qu’il dévoile enfin, beaucoup plus tard dans sa vie car il était tenu à ne rien divulguer. Voici ce que dit son carnet de bord datant de 1947 : Voir le document ci-après.

Ce message d’espoir reçu par l’Amiral Byrd, nous ne devons pas l’oublier dans notre âme, car il donne l’espoir d’un monde meilleurs un jour grâce au fait que nous ne sommes pas seuls à vouloir la Bonté et la Beauté dans ce monde malgré les actuelles tribulations supportées depuis tant d’années par tant de monde et d’habitants de cette planète.

Merci à ceux qui ont contribué à cet article via la documentation déposée sur la toile.

©  Colinearcenciel

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