9. Les dix huit années de vie secrètes cachées durant des siècles aux peuples (suite)

8. La suite du parcours d'Issa en Orient

L’ETOILE VUE PAR LES ROIS MAGES ETAIT UNE ETOILE APPARUE

ET NON EXISTANTE, LES PREDICTIONS ANNONCAIENT UNE ETOILE INCONNUE APPARUE DANS CIEL AVEC DES DONNEES ASTRONOMIQUES PRECISES PERMETTANT AUX ROIS MAGES DE RETROUVER L’ENFANT DIVIN

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Jésus et Krishna

Les dix huit années manquantes de la vie du Christ Jésus n’a pas manqué d’interroger beaucoup de chercheurs car la Bible reste totalement silencieuse à ce sujet. Or, de nombreux documents, rouleaux de parchemins, des fragments ont été découvert en Egypte à Nag Hammadi, d’autres parchemins dans la Mer Morte en Israël mais tous ces documents ne mettent pas en lumière toutes les années, soit dix huit années des « années perdues de Jésus » comme souvent exprimé de cette façon. D’autres manuscrits éclairent la compréhension et furent systématiquement considérés comme hérétique par l’Eglise Catholique Romaine comme Apocrypha et Pseudepigrapha et pourtant faisait partie de la tradition littéraire catholique. La vérité n’était donc pas dit et l’Eglise cachait au monde ces vérités.

Ainsi, certains commencèrent à écrire et étendre ce savoir comme le révérend C.R. Potter publiant en 1962 le livre se nommant « Les années perdues de Jésus révélées ». Anne Read et J. Furst informèrent  des travaux de Edgar Cayce dans ce domaine en publiant chacun leur propre livre fascinant sur le sujet.

Andreas Faber-Kaiser publia en 1976 un ouvrage intitulé Jésus mouru au Cachemire. 

Jésus Christ aurait réellement été en Indes : un livre assez exhaustif sur les dix-huit années manquantes de Jésus d’Elizabeth Clare Prophet,  Les années perdues de Jésus traite du sujet de maniére assez nuancée.  Le révérend Potter, cependant était plus tenté de croire que Jésus a passé ces dix-huit années manquantes parmi les Esseniens. Néanmoins, même le révérend semble admettre que ce temps a été passé entre étudier avec les Esséniens et un voyage en Inde. 

Le couple Dick et Janet Bock ont écrit un fameux ouvrage contemporain sur les voyages de Jésus, avec des recherches méticuleuses qui ont d’ailleurs donné naissance à un film Les années perdues (1978) et le titre exact de leur livre « Le mystère de Jésus ».plus fameux ouvrage contemporain sur les voyages de Jésus vient cependant du couple Dick et Janet Bock dont les travaux de recherches méticuleux ont donnés naissance à un film Les années perdus (1978) et à un livre Le mystére de Jésus (1980). On ne pouvait imaginer que Jésus apparu soudainement en Galilée à l’âge de trente ans et cacha la majeure partie de sa vie à ses proches amis et disciples disciples qu’il aimait pourtant. Ces années devaient être importante pour Jésus. Pour raison politique, ces années furent cachées également car elle ne coïncidait pas avec les besoins de l’Eglise en expansion. L’explorateur russe Notovitch Nicolas dont nous parlons dans son livre « La vie inconnue de Jésus Christ » fut reçu d’une manière jugée provocatrice à l’époque (en 1894) par les critiques, le public et l’Eglise.

Juste après la guerre Turko-russe, Notovitch part en voyage en Orient. En 1887, il arrive au Cachemire où il a entendu parlé d’un monastère bouddhiste à Leh, la capitale du Ladakh. Par curiosité et peut-être aussi par un coup du destin, il décida de rendre une visite aux moines de Leh. Là, on lui a parlé d’un ancien document. Le lama en charge restait discret sur la question – mais il lui révéla que ce document parlait de la vie de Saint Issa. (En latin l’orthographe de Jésus est Iesus ; en Arabe, Isa. De plus, il faut remarquer que Isa est la racine sanskrit du mot Isvara, un nom indien pour Dieu qui veut dire littéralement « le Contrôleur Suprême .»)

On raconta à Nicolas Notovitch que les anciens manuscripts en Pali se trouvaient dans le palace de Dalai Lama et que ces travaux étaient des copies de versions en sanskrit plus anciennes. Des copies de ces copies existaient dans quelques monastères bouddhistes dans la région. Notovitch réalisa qu’il était assez fortuné de se trouver dans l’un de ces monastères.

Le désir de trouver ces parchemins devint une obsession pour lui et Notovitch proposa trois cadeaux au lama en chef – une alarme, une montre et un thermomètre – en espérant que le prêtre bouddhiste soit assez aimable pour lui montrer la vie de Saint Issa en retour…sans succès.

Cependant, quand il quitta le monastère sur son cheval, il se blessa à la jambe et fut forcé de revenir au monastère, ce qui lui porta chance. Le lama en chef  se fit un devoir de s’occuper de lui et dès ce moment lui révéla finalement deux gros volumes dans des cartons. Notovitch en fut très comblé. Là, devant lui, écrit sur des feuilles abîmées par le temps était écrit l’histoire de Saint Issa.

Nicolas Notovitch s’arrangea pour se procurer un interprète pour traduire le manuscript d’Issa. Annotant mot à mot l’histoire, Notovitch retourna ensuite en occident et publia La vie inconnue de Jésus Christ.

 Ce livre nous informe qu’à l’âge de 13 ans Jésus quitte la maison familiale de Nazareth où vivent Marie et Joseph. Il voyagea avec une caravane marchande vers les villes saintes de l’Inde et jusqu’à la rivière sacrée du Gange. Et par la suite se rendit en Egypte pour pénétrer les mystères de la Grande Pyramide. Et en rentrant, il explora les diverses philosophies d’Athènes et de Persepolis en Perse. Il retourna en Israël quand il avait vingt-neuf ans – dix-huit ans plus tard.

Le livre populaire de Levi H. Dowling appelé Le Gospel de l’Aquarian est connu désormais pour s’être inspiré des travaux de Notovitch. Ce livre fut publié en 1908, juste quatorze ans après que Notovitch eut publié La vie inconnue de Jésus Christ contrairement à la prétention de Levi qui prétendait que ce livre était un une révélation qu’il avait reçue. Ce livre fut considéré comme plagiat mais racontait la même chose que Nicolas Notovitch.

Conformément aux anciens manuscripts trouvés par Notovitch, Jésus a passé six ans à apprendre et enseigner les écritures de l’Inde (les Védas) à Bénarès, Jagannath Puri et d’autres villes dans l’état d’Orissa. Jésus apprécia les connaissances védiques et leur accordèrent une grande valeur mais sut qu’elle pouvait être mal utilisée et ce, parceque les prêtres brahmanes, d’une classe supérieure, exploitaient les classes modestes et pauvres, surtout les sudras, car ils enseignaient que la Connaissance n’étaient destinées qu’aux couches supérieures de la société. 

Jésus trouva cela répugnant CAR L’AMOUR DE DIEU EST POUR CHAQUE Être humain pour les femmes, pour les enfants, sans distinction de classe de société. 

Jésus décida de lui-même de rectifier la situation et commença à enseigner la connaissance védique aux sudras.

Jésus commençait des réformes évidement vitales qu’il appliqua vers l’Occident. 

Dans les travaux de Notovitch, on voit aussi Jésus qui prévient les brahmanes trop conscient de leurs castes qu’ils ont oubliés les vrais enseignements des Védas.

Les Védas enseigne le principe de la distinction de classe. Mais, à l’origine cette distinction était basé sur la qualification et le travail. En Orissa, à cette époque, tout le concept était devenu déformé, et les gens revendiquait les droits de castes en fonction de leur naissance. Si quelqu’un était né dans une famille de brahmanes, il était considéré bramane – même s’il manquait lui les qualifications nécessaires comme la propreté, l’austérite, la compassion et la véracité. Jésus chercha à mettre un terme à cette hypocrisie., car Jésus a toujours été très fâché des hypocrisies !

L’idée védique originale était cependant pleinement acceptée par Jésus. Jésus enseigna que chaque être vivant devrait vénérer Dieu. Et ces castes étaient considérées égales dans le sens où elles facilitaient un type de service particulier à l’Etre Suprême. Certaines personnes rentre dans la catégorie de la classe des intellectuels (brahmanes), d’autres sont des administrateurs (ksatriya), d’autres ont plus des talents de commerçants (vaisya), alors que d’autres rentrent dans la catégories des travailleurs manuels (sudra). Mais tous sont égales aux yeux de Dieu.

Il n’est pas étonnant de trouver Jésus rudoyer les « brahmanes » tout comme il le fit avec le prêtres et les pharisiens, pour leurs mauvaises interprétations de la connaissance védique. En fait, ce n’étaient pas des brahmanes, du moins en ce qui concerne leurs qualifications et leurs connaissances spirituelles. De manière similaire, les Britanniques critiquèrent le système des castes mille-neuf cents ans plus tard !

Soit par pure ignorance ou motivation impure, les brahmanes d’Orissa complotèrent pour tuer Jésus, donnant une raison supplémentaire de penser qu’ils n’étaient pas de vrais brahmanes (c’est contre le code des brahmanes de tuer de quelque façon. La plupart des brahmanes étant de strict végétariens). Après plusieurs tentatives infructueuses d’intenter à la vie de Jésus, le Christ Jésus quitta Jagannath Puri pour ne plus jamais revenir.

L’histoire d’Issa nous informe qu’ensuite il séjourna au Népal, au plus profond des Himalayas. Là-bas, il passa encore six ans à enseigner la science de la spiritualité. En rentrant par la Perse,  Jésus ne fut pas très bien reçu par les Zoroastriens, qui croyaient à la bataille entre les deux dieux. « Il n’y a qu’un seul Dieu », Jésus (Issa) leur enseigna, « et c’est notre Père au ciel ».

La partie suivante du manuscript d’Issa (et donc du livre de Notovitch) est presque exactement conforme à ce que nous connaissons de la Bible avec Ponce Pilate, la crucifixion et les Apôtres. Donc ce qu’offre l’ancien manuscript bouddhiste est une explication possible des activités de  Jésus durant ces dix-huit années manquantes, desquelles la Bible ne dit rien.

Beaucoup de sceptiques à propos de ses voyages n’apportant selon certains aucune preuves concrètes et de plus, à l’époque voyager n’était pas simple pour parcourir de si grandes distances. Pourquoi Jésus s’est rendu en Himalaya, en Inde, au Népal, en Perse ?

Quant à l’Eglise , elle ignora ses travaux : ils étaient en réalité craintif, car des secrets à protéger et bien plus que l’on imagine et ce n’est pas en un seul article que nous pouvons développer cela. Evidemment, comme pour le sujet des OVNIS et des extraterrestres dont il est fort débattu à notre époque, les autorités estimaient que ces révélations étaient trop prématurée car il y avait à l’époque une vague d’athéisme notamment. Ce qui était quelque part avouer de l’opportunité à exprimer la vérité mais celle ci n’était réservée qu’à une caste également en Occident. Imaginez que toujours, le monopole du savoir rend plus puissant. C’est ainsi de même sur internet, lorsqu’une idée originale sort, est plausible, est ressentie comme vraie : tout à coup on voit fleurir une série d’articles cherchant à faire le buzz et à surtout rentabiliser ces savoirs : l’humain est loin d’être parfait.

Nicolas Notovitch se vit proposer un pot de vin mais il refusa t publia son livre. Et, lui, put, tenez vous bien, consulter des archives très anciennes au Vatican dans la bibliothèque et pas moins de  soixante-trois manuscripts qui parle de l’histoire d’Issa –  d’antiques documents qui furent amenés à Rome par des missionnaires chrétiens qui prêchaient en Chine, Egypte, Arabie et Inde. « Pas étonnant que les officiels de l’Eglise réagirent de manière bizarre » réalisa Nicolas Notovitch,  l’histoire d’Issa n’est pas quelque chose de nouveau pour eux !

Nicolas Notovitch extrapola que Saint Thomas ait même pu être un de ces missionnaires en Inde, lequel d’après L’Encyclopédie Catholique évangélisa l’Inde et tous les territoires entre le Golfe Persique et la Mer Caspienne.

Cela nous amène aux voyages au premier siècle de notre ère entre la Palestine et l’Inde par Jésus.  Le livre apocryphe Les Actes de Thomas décrit l’apôtre prêchant le gospel et réalisant des miracles sur « les terres du Gange ». Qui plus est, Notovitch remarqua rapidement que Thomas n’a pas pu prêché dans son grec natale, ou même en hébreu car les peuples de l’Inde ne parlaient que des dialectes issus du Pali et du sanskrit. Il est donc parfaitement probable qu’il apprit le language et qu’il ait même quelque chose à voir avec le manuscript d’Issa (étant un des seuls disciples de Jésus en Inde à cette époque.)

Il n’y a désormais plus aucun doute en ce qui concerne les activités de prédication en Inde de Thomas au premier siècle. Les chercheurs ont prouvé de manière définitive qu’il y avait des routes commerciales qui reliaient l’est à l’ouest, des routes fréquentées régulièrement. Des voies terrestres menaient au nord de l’Inde (où Issa voyagea) alors que les voies maritimes approchaient le sud de l’Inde.

Thomas prêcha dont en Inde et ce qui fut possible pour Jésus ! D’autres preuves d’importance viennent à lui car d’après le professeur William Steuart McBirnie dans son livre La recherche des douze apôtres: « Il a déjà été prouvé que la route maritime vers le sud de l’Inde était très utilisée à l’époque romaine pour le commerce du poivre et que des pièces d’or et d’argent romain des premiers siècles de notre ère ont été découverts dans le sol de Malabarese (Inde du sud). En outre, des preuves indiscutables attestent de l’existence du roi Gondophares et de son frère Gad en tant que personnages historiques et pas seulement des figures de légendes. Leurs noms ont été trouvés sur des pièces de monnaie excavées et aussi sur un inscription de Gandhara qui détermine leur règne à environ 19-45 AD dans la scytho-Inde de la vallée de l’Indus. » La VALLEE DE L’INDUS DONT NOUS PARLONS également dans le livre de Baird Spalding : le hasard n’existe pas, dans le livre que nous abordons également de façon approfondie : ‘La vie des maîtres ».

Dans Les Actes de Thomas, l’apôtre voyagea en Inde avec un roi nommé Gondophares qui avait un frère appelé Gad. Et selon tous les spécialistes contemporains  la thèse que Thomas est bien allé en Inde. L’Eglise catholique romaine considère désormais que la cathédrale de Saint Thomas à Mylapur (dans la banlieue de Madras) soit en reconnue comme une basilique car elle repose sur la tombe de l’apôtre. Il fut enterré en Inde avec une mort en martyre. Mais il n’est pas un hasard non plus que l’étude du livre de Baird Thomas Spalding soit interrompu momentanément pour parler des dix huit années de vie de Jésus dont rien n’est enseigné aux fidèles des grandes foules et des grandes masses humaines..

En fait, la tombe de Jésus est aussi prétendument en Inde, comme il est dit qu’elle se trouve en France mais quel importance puisqu’il est ressucité et que son corps physique n’a laissé aucune trace sur la planète bleue outre son sang, des linges, la couronne d’épine et autres objets liés à son calvaire et a sa crucifixion.

Cela peut aussi choquer certains chrétiens de savoir que le pape Jean XXIII déclara ouvertement en 1960 que c’est à travers le sang du Christ que l’homme fut sauvé et que sa mort n’est pas essentielle pour son salut. En d’autres termes, l’hypothèse du Cachemire ne contredit pas nécessairement le dogme chrétien. Jésus a peut-être été crucifié – mais il n’avait pas besoin de mourir sur la croix. En tout cas, de nos jours, le corps physiques de Jésus n’est pas mort, son corps de chair n’est pas mort et ne mourra jamais et nous en parlerons, comme pour d’autres dans des prochains chapitres.

(On se doit de garder à l’esprit l’idée que Jésus est mort au Cachemire et voir comment cela nous éclaire sur la vie de Saint Issa. Comme nous l’avons mentionné plus tôt, le journaliste allemand Faber-Kaiser était tellement convaincu de cette hypothèse qu’il écrivit un livre pénétrant, Jésus est mort au Cachemire, qui explique de manière méticuleuse l’histoire complète d’Issa (avant et après la crucifixion). D’après son explication, Jésus eut survécu à la crucifixion et se mit en route vers l’est, cette fois-ci sous le nom de Yuz Asaf. S’installant au Cachemire, Jésus se maria et mouru d’une mort naturelle à un âge avancé. Une communauté de juifs à Srinagar, la capitale du Cachemire, vouent toujours un immense respect envers une vieille crypte dans laquelle ils ont cru pendant des générations que Jésus – ou Issa comme ils l’appellent – est enterré). Je vous le dis, Jésus Christ n’a jamais été enterré et n’est jamais mort car ses facultés sont plus hautes que l’on imagine.Il a poussé un dernier cri, il étouffait fait de chair mais sa puissance est telle qu’il peut apparaître de chair.

La thèse de Faber-Kaiser dans son livre est assez solide, supportée par les travaux de Nicolas Notovitch, avec des interprétations bibliques complexes et par aussi des textes arabiques primordiaux.

Le Coran lui-même, dit en fait clairement que  Jésus n’est pas mort sur la croix : « Ils ne l’ont pas tué, ils ne l’ont pas crucifié, cela leur a seulement semblé de la sorte. » (Coran, 155-7).

Plus tard, l’historien musulman Imam Abu Ja’far Muhammad at-Tabri a commenté : « Issa et sa mère Marie ont quitté la Palestine et ont voyagé vers une terre lointaine, vagabondant de pays en pays. » L’hypothèse du Cachemire peut donc servir à harmoniser les vues chrétiennes et islamiques,  réglant des querelles vieilles de plusieurs siècles. Les chrétiens disent que Jésus fut crucifié. Les musulmans disent qu’ils n’est pas mort sur la croix. L’hypothèse du Cachemire offre donc une explication possible qui s’accommode à la fois des points de vue chrétiens et les musulmans.

Il y a des preuves encore plus convaincantes. Jésus est mort au Cachemire inclus seize pages de schémas impressionnants dans lesquels des parallèles linguistiques sont établis entre les noms de lieux, de tribus, de castes du Cachemire et ceux trouvés dans la Bible. De plus, Faber-Kaiser se réfère à l’ancien texte du Bhavishya Purana (qui fait partie des canons védiques), qui ont été écrits en sanskrit il y a cinq mille ans par le sage Vyasadeva. En tant que texte sacré qui inclut des prophéties, il s’aligne avec la Bible.

Faber-Kaiser paraphrase le Purana, « Maharaja Shalewahin sortit un jour marcher dans les montagnes et à Voyen, prêt de Srinagar vit une personne distinguée habillé de blanc et de couleur claire de peau. Le Maharaja lui demanda son nom, Jésus lui répondit qu’il était connu comme le fils de Dieu et qu’il était né d’une vierge. Le Maharaja  fut surpris, mais Jésus lui expliqua qu’il lui disait la vérité et que sa mission était de purifier la religion. Quand le Maharaja  continua à le questionner; Jésus lui dit qu’il eu proclamé son ministère dans un pays loin au-delà de l’Indus et que le peuple le fît souffrir. Il prêcha l’amour, la vérité et la pureté de cœur et pour cette raison il fut connu comme le Messie. »

Dans le même Bhavishya Purana, Jésus mentionne aussi de la prédication sur la terre des Amalekites, qui est connecté de manière certaine à la tradition biblique.

Remarquablement, tous les prophéties dans ce Purana sont écrites comme si l’événement eu déjà eut lieu, ce qui est une pratique courante dans la littérature prophétique. Le scénario mentionné ci-dessus n’advint pas avant trois-mille ans après son énoncé, c’est-à-dire il y a deux mille ans. La littérature védique relate donc l’histoire d’Issa et proclame le fait que Jésus a bien voyagé en Inde.

Notovitch était convaincu de ces faits. Mais Swami Abhedananda, un disciple connu de Ramakrishna, ne le fut pas. En fait, il restait bien sceptique par rapport à tout cela. Et en 1922, il décida de partir en trekking dans la région des Himalayas. Il eut vent brièvement des exploits de Notovitch et en tant que chercheur il fallait qu’il vérifie de manière certaine tout cela. Est-ce que les manuscripts d’Issa ont vraiment existé ? Ou bien est-ce que Notovitch était une fraude comme beaucoup d’autorités écclésiastiques (et Abhedananda lui-même) étaient portées à croire ? Le Swami partît a la recherche d’un manuscript.

Les résultats furent étonnants. Quand il revînt, il publia un livre de ses voyages intitulé Kashmiri O Tibetti. Le livre parle de sa visite au monastère bouddhiste et comment on lui a lu et traduit dans sa langue bengali natale le manuscript d’Issa.

Abhedananda réalisa très vite que les travaux de Notovitch correspondaient fidèlement au texte. Il devînt alors entièrement convaincu. Il faut remarquer qu’à la fois Notovitch et Abhedananda ont eu besoin d’avoir le transcription traduite pour eux. Il ne pouvait pas lire le manuscript en Pali eux-mêmes. Les soi-disant spécialistes restaient donc sceptique quand il revinrent en occident. Ces chercheurs enthousiastes étaient sûrement sincères mais peut-être y avait-il une erreur dans la traduction (ce que j’ai relevé en plusieurs lieux de ce livre, j’ai douté de la traduction de certains « versets » puisque ce livre se présentait en verset ? Ou alors peut-être le moine bouddhiste les avait trompé ?

Le problème substanciel – fut réglé une fois pour toute par une équipe de recherche père et fils. Nicholais Roerich en 1925, artiste, philosophe et scientifique distingué partît en expédition dans les Himalayas. Etonnamment, ayant aucune connection avec Notovitch et Abhedananda, il tomba sur le manuscript d’Issa. De plus, le fils de Nicholas Roerich, George qui voyageait avec son père, était compétent dans de nombreux dialectes indiens dont le Pali. Ils lurent le manuscript en première main , prirent des notes et l’enregistrèrent dans leur carnet de voyage. Bien qu’à ce moment ils ne réalisèrent pas sa valeur, des années plus tard la valeur de ce carnet de voyage devînt apparente.

D’après Elizabeth Clare Prophet, « l’expédition asiatique de Nicholas Roerich dura quatre ans et demi. A cette époque, il voyagea du Sikkim par le Punjab et dans Cachemire, le Ladakh, le Karakorum, le Khotan et l’Irtysh, et puis sur les montanges de l’Altai et à travers la région Oyrot dans la Mongolie, le désert de Gobi (évoqué également dans cet espace dans le livre et l’expédition de Baird Thomas Spalding !) central, Kansu et le Tibet. » Après tous ses voyages, Roerich admît « Nous furent touchés de voir combien est répandue l’histoire d’Issa. »

Bien que cela reste un mystère en occident, Issa vit dans le cœur du peuple indien. Et cela est un fait qui ne peut être ignoré. Le Bible conclut : « …et il y a aussi de nombreuses choses que Jésus fît c’est-à-dire non mentionnée dans la Bible, lesquelles si elles étaient toutes écrites, je suppose que même le monde lui-même ne pourrait pas contenir tous les livres qui pourraient être écrits… » et je suis d’accord avec ce point de vue.

Pourquoi voulait-il faire ces voyages ? ICertains disent qu’ils étaient en recherche des trois sages hommes qui, on doit s’en souvenir venaient de l’orient : les roi mages. D’autres dont Faber-Kaiser spécule sur le fait que Jésus cherchait les dix tribus perdues d’Israël. D’autres disent que, due à la persécution, Jésus et Marie avec Saint Thomas avaient fui vers une terre plus riche en compréhension, une terre de tolérance et de paix.

Le sujet est plus profond qu’il n’en a l’air. Jésus qui prêchait une doctrine complètement métaphysique dans un pays imprégné de spiritualité. Les juifs étaient préoccupés avec l’ici et le maintenant. Mais Jésus, contrairement aux enseignants juifs, revendiquait que son royaume n’était pas dans le monde matériel mais dans le Royaume de Dieu, au paradis. Les enseignements de l’Inde, dénigrés comme « hallucinatoire » par les critiques juives étaient plus en adéquation avec les enseignements mystiques de Jésus.

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Jésus exhiba certains pouvoirs mystiques, qui bien que peu communs en occident, étaient connus des yogis de l’Inde. Par exemple, Jésus, il est dit, marchait sur l’eau.

Le pouvoir mystique connu comme le laghima siddhi peut rendre une personne plus légère que l’air, donc capable de marcher sur l’eau. Jésus multiplia les pains et les poissons, comme les yogis étaient connus pour multiplier leurs propres formes (kamavasayita siddhi) aussi bien que de manifester toutes sortes d’objets – dont les pains et les poissons – d’endroits distants (prapti siddhi). Jésus s’échappa de sa tombe qui était bloquée par un large roc, les yogis étaient capables de devenir plus petit que le plus petit (anima siddhi) pour échapper à des démons.

Ces miracles n’étaient pas inhabituels dans l’ancienne Inde et les miracles de Jésus ressemblent trop à ceux des yogis de l’Inde pour que l’on puisse dire que tout cela est une coïncicence. Donc, une étude comparative de la philosophie védique et de l’histoire de la chrétienneté, sous la direction d’un maître spirituel authentique, révèle rapidement la connaissance sans pareil et la profondeur spirituelle de l’orient et son influence sur l’occident.

L’écrivain Alex Kack, dans un article intéressant de la revue Eastwest Journal (Janvier 1978), le dit de la manière la plus éloquente «  L’orient, aujourd’hui aussi, signifie l’autre moitié mystérieuse de l’âme, la concience cachée, l’esprit supérieur, la dimension intuitive du psyché que les civilisations classiques grecques et hébreuses ont minimisés ou ignorés. »

Cela ne veut pas nécessairement dire que Jésus était en quête de sagesse et de complétude. En tant que fils de Dieu, il a pu être parfait dès sa naissance. Mais en tant que Messie, l’instructeur parfait, Jésus montrait la voie et plus encore !. Pour ceux d’entre nous en recherche de la Vérité Absolue, Jésus a montré la direction de l’est. De même, tel le soleil se lève sur l’orient, la lumière de l’est nous revient, nous qui attendons patiemment en occident.

Ces données approchant de la vérité sur la vie du Christ Jésus ne disent pas encore tout sur sa Majesté : la grandeur souveraine dont Il EST et l’humilité sublime dont il est habité si un jour vous Le rencontrez, son immense Tendresse et les capacités de sa Majesté qui aime tant la simplicité et l’intimité avec l’âme car Il traverse de son regard et sait tout de vous dans les moindres détails. Son aspect peut être sévère et sa voix suave peut être si ferme que vous ne savez en aucun cas refuser ce qu’Il demande d’impossible, Il sait convaincre de par la puissance de sa Force, Il surprend par la subtilité de sa Douceur et des Saveurs qu’Il fait connaître dans la Beauté Sublique qu’Il fait connaître à celui qu’Il a choisi de rencontrer et de visiter sur terre.

Nous continuons la traduction des notes du voyageur, traduite par le biais de documents écrits se trouvant à l’époque au Tibet et transmis à l’auteur du livre : La vie secrète de Jésus Christ. Néanmoins dans cette traduction, nous avons des éléments de paroles et des éléments sur le parcours d’Issa. Suite de l’article précédent numéroté 7. Ici il s’agit de traduction de paroles d’Issa donc de Jésus Christ.

15. Vous prétendez qu’il faut adorer le Soleil, le génie du Bien et celui du Mal ; eh bien, votre doctrine est détestable, vous dis je, le soleil n’agissant pas spontanément, mais par la volonté du Créateur invisible qui lui a donné naissance.

16. Et qu a voulu que cet astre éclairât le jour et chauffât le travail et les semailles de l’homme ?

17. L’Esprit éternel est l’âme de tout ce qu’il y a d’animé ; vous commettez un grand péché, en le fractionnant en l’esprit du Mal et l’esprit du Bien, car il n’est pas de Dieu hormis celui du Bien.

18. Qui, semblable à un père de famille, ne fait que du bien à ses enfants, auxquels il remet toutes leurs  fautes s’ils se repentent. 

19. Et l’esprit du mal demeure sur la terre, dans le coeur des hommes qui détournent les enfants de Dieu du droit chemin.

20. C’est pourquoi je vous le dis, redoutez le jour du jugement, car Dieu infligera un châtiment terrible à tous ceux qui auront fait dévier de la vraie route ses enfants et qui les auront remplis de superstitions et de préjugés.

21. Ceux qui ont aveuglé les voyantstransmis la contagion aux bien portants et enseigné le culte des choses que Dieu a soumise à l’homme pour son propre bien et pour L’aider dans ses travaux.

22. Mais, protégé par le Seigneur notre Dieu, Saint Issa continua sa route sans accident. (Il était en Perse). (La contradiction des écrits résident dans le fait qu’il soit appellé bouddha et saint, cependant ce n’est pas grave : ils sont tous assemblés : le Christ, les bouddhas et les saints ou rishi : ces notions se trouvent au cours des écrits définissant chaque terme dans cet espace).

23. Après l’avoir écouté, les mages résolurent de ne point lui faire de mal. La nuit, quand toute la ville reposait, ils le conduisirent en dehors des murs et l’abandonnèrent sur la grand route, dans l’espérance qu’il ne tarderait pas à être la proie des fauves.

24. Mais, protégé par le Seigneur notre Dieu, Issa continua sa route sans accident.

IX

1. ISSA, que le Créateur avait élu pour rappeller le vrai Dieu aux humains plongés dans les dépravations, avait vingt neuf ans quand il arriva dans le pays d’Israël.

2. Depuis le départ d’Issa, les païens avaient fait endurer des souffrances encore plus atroces aux Israélites, et ceux ci étaient en proie au plus grand découragement.

3.Beaucoup d’entre eux avaient déjà commencé à délaisser les lois de leur Dieu et celles de Mossa (Moïse), dans l’espérance de fléchir leurs farouches conquérants.

4. En présence de cette situation, Issa exhorta ses compatriotes à ne pas désespérer parce que le jour de la rédemption des péchés était proche et il confirma sur lui la croyance qu’ils avaient au Dieu de leurs pères.

5. Enfants, n’allez pas vous abandonner au désespoirs, disaient le Père Céleste par la bouche d’ISSA, car j’ai entendu votre voix, et vos cris sont parvenus jusqu’à moi..

6. Ne pleurez plus,  ô mes bien aimés, car vos sanglots ont touché le coeur de votre Père et il vous a pardonné comme il a pardonné à vos ancêtres.

7. Ne délaissez pas votre famille pour vous plonger dans la débauche, ne perdez pas la noblesse de vos sentiments et n’adorez point d’idoles qui resteront sourdes à votre voix.

8. Remplissez mon temple de votre espérance et de votre patience, et n’abjurez point la religion de vos pères, car moi seul les ai guidés et les ai comblés de bienfaits.

9. Vous relèverez ceux qui seront tombés, vous donnerez à manger à ceux qui ont faim, et vous viendrez en aide aux malades, afin d’être tous purs et justes au jour du dernier jugement que je vous prépare.

10. Les Israélites accouraient en foule à la parole d’ISSA et lui demandaient où ils devaient remercier le Père Céleste, puisque les ennemis avaient rasé leurs temples et fait main basse sur leurs vases sacrés.

11. ISSA leur répondit que Dieu n’avait pas en vue les temples édifiés de main d’homme, mais qu’il entendait par là les coeurs humains qui sont le vrai temple de Dieu

 12. Entrez dans votre temple, dans votre coeur, éclairez le de bonnes pensées et de la patience et de la confiance inébranlables que vous devez avoir en votre Père.

13. Et vos vases sacrés, ce sont vos mains et vos yeux ; regardez et faites ce qui est agréable à Dieu, car, en faisant du bien à votre prochain, vous accomplissez une cérémonie qui embellit le temple où séjourne Celui qui vous a donné le jour.

14. Car Dieu vous a créé à sa ressemblance, innocents, l’âme pure, le coeur rempli de bonté et destiné, non pas à la conception de projets méchants, mais fait pour être le sanctuaire de l’amour et de la justice.

15. Ne souillez donc pas votre coeur, vous dis je, car l’Etre Eternel y réside toujours.

16. Si vous voulez accomplir des oeuvres empreintes de piété ou d’amour, faites les d’un coeur large et que votre action ne soit pas motivée par l’espoir du gain ou par un calcul commercial.

17. Car cette action ne vous ferait pas approcher du salut et vous tomberiez alors dans un état de dégradation morale où le vol, le mensonge et l’assassinat passent pour  des actes généreux.

DIX

1. ISSA allait d’une ville à une autre ville, raffermissant par la parole de Dieu le courage des Israélites, qui étaient prêts à succomber sour le poids du désespoir, et des milliers d’hommes le suivirent pour entendre ses prédications.

2. Mais les chefs des villes eurent peur de lui, et ils firent savoir au gouverneur principal, qui résidait à Jérusalem, qu’un homme appelle Issa était arrivé dans le pays, qu’il soulevait par ses sermons le peuple contre les autorités, que la foule l’écoutait assidûment et négligeait les travaux de l’Etat en ajoutant que, sous peu, il serait débarrassé de ses gouvernants intrus.

3. Alors Pilate, gouverneur de Jérusalem, ordonna qu’on se saisît de la personne du prédicateur Issa, qu’on l’amenât dans la ville et qu’on le conduisît devant les juges ; toutefois, pour ne pas exciter le mécontentement de la population, Pilate chargea les prêtres et les savants, vieillards hébreux, de le juger dans le temple.

4. Sur ces entrefaits, Issa, continuant ses prédications, arriva à Jérusalem ; ayant appris sa venue, tous les habitants, qui le connaissait déjà de réputation vinrent au devant de lui.

5. Ils le saluèrent respectueusement et lui ouvrirent les portes de leur temple, afin d’entendre de sa bouche ce qu’il avait dit dans les autres villes d’Israël.

6. Et Issa leur dit : »la race humaine périt à cause de son manque de foi, car les ténèbres et la tempête ont égaré le troupeau des humains et ils ont perdu leurs pasteurs »

7. »Mais les tempêtes ne durent pas toujours et les ténèbres ne cacheront pas la lumière éternellement ; le ciel redeviendra bientôt serein, la clarté céleste se répandra par toute la terre et les ouailles égarées se réuniront autour de leur berger ».

8. Ne vous efforcez pas de chercher des chemins directs dans l’obscurité, de peur de choir dans quelque fossé ; mais rassemblez vos dernières forces, soutenez vous l’un et l’autre, placez toute votre confiance en votre Dieu et attendez qu’une première lueur apparaisse.

9. Celui qui soutient son voisin se soutient lui même et quiconque protège sa famille, protège tout son peuple et son pays.

10. Car soyez sûrs que le jour est proche où vous serez délivrés des ténèbres ; vous vous rassemblerez en une seule famille et votre ennemi tressaillera de peur, lui qui ignore ce qu’est la faveur du grand Dieu.

11. Les prêtres et les vieillards qui l’écoutaient, plein d’admiration devant son langage, lui demandèrent s’il était vrai qu’il eût tenté de soulever le peuple contre les autorités du pays, ainsi qu’on l’avait rapporté au gouverneur Pilate.

12. Peut on s’insurger contre des hommes égarés à qui l’obscurité a caché leur chemin et leur porte, répondit ISSA. Je n’ai fait qu’avertir les malheureux, comme je le fais ici, dans ce temple, pour qu’ils ne s’avançassent pas pas plus loin sur les routes ténébreuses, car un abîme est ouvert sous leurs pas.

13. Le pouvoir terrestre n’est pas de longue durée et il est soumis à une foule de changements. Il ne serait d’aucune utilité pour un homme de se révolter contre lui, car un pouvoir succède toujours à un autre pouvoir, et c’est ainsi que cela se passera jusqu’à l’extinction de la vie humaine.

14. Par contre, ne voyez vous pas que les puissants et les riches sèment parmi les fils d’Israël un esprit de rebellion contre le pouvoir éternel du Ciel

15. Et alors les vieillards : »Qui es tu, firent t’il, et de quel pays es tu venu jusque chez nous ? Auparavant, nous n’avions pas entendu parler de toi et nous ignorions même jusqu’à ton nom.

16. « Je suis israélite, répondit ISSA, et au jour de ma naissance, j’ai vu les murailles de Jerusalem, et j’ai entendu sangloter mes frères réduits en esclavage et se lamenter, mes soeurs qu’on a emmenées chez les païens ».

17. Et mon âme s’attristait douloureusement quand je voyais que mes frères avaient oublié le vrai Dieu : étant enfant, j’ai quitté la maison paternelle pour aller me fixer chez d’autres peuples. 

18. Mais ayant entendu dire que mes frères subissaient des tortures encore plus grandes, je suis revenu au pays qu’habitaient mes parents, pour rappeller à mes frères la foi de leurs ancêtres, qui nous prêche la patience sur terre pour nous faire obtenir là haut le bonheur parfait et sublime.

19. Et les savants vieillards lui firent encore cette question : » On assure que tu renies les lois de Mossa et que tu enseignes au peuple l’abandon du temple de Dieu ? »

20. Et ISSA répondit : On ne démolit pas ce qui a été donné par notre Père céleste et ce qui a été détruit par les pécheurs ; mais j’ai recommandé de se purifier le coeur de toute souillure, car c’est là le véritable temple de Dieu ».

21. Quant aux lois de Mossa, je me suis efforcé de les rétablir dans le coeur des hommes et je vous dis que vous ignorez leur portée véritable, car ce n’est pas la vengeance, mas le pardon qu’elles enseignent ; seulement on a dénaturé le sens de ces lois.

XI

1. Ayant entendu ISSA, les prêtres et les savants vieillards décidèrent entre eux de ne pas le juger,  car il ne faisait de mal à personne et, s’étant présentés devant Pilate, institué gouverneur de Jérusalem par le roi païen du pays de Romèles (Romulus, l’orthographe est celle déposée dans ces notes), ils lui parlèrent ainsi :

2. Nous avons vu l’homme que tu accuses d’exciter notre peuple à la révolte, nous avons entendu ses prédications et nous savons qu’il est notre compatriote.

3. Mais les chefs des villes t’ont adressé de faux rapports car c’est un homme juste qui enseigne au peuple la parole de Dieu. Après l’avoir interrogé, nous l’avons congédié pour qu’il aille en paix.

4. Le gouverneur entra dans une violente colère t envoya près d’ISSA ses serviteurs déguisés, afin d’épier tous ses actes et de communiquer aux autorités les moindres paroles qu’il adresserait au peuple.

5. Cependant, ISSA continuait à visiter les villes voisines et prêchait les vraies voies du Créateur, en exhortant les hébreux à la patience et en leur promettant une prompte délivrance.

6. Et pendant tout ce temps, beaucoup de gens le suivirent, partout où il allait, plusieurs ne le quittèrent pas et lui servirent de domestiques.

7. Et ISSA disait : « Ne croyez pas aux miracles faits par la main de l’homme, car celui qui domine la nature est seul capable de faire des choses surnaturelles, tandis que l’homme est impuissant à arrêter le courroux des vents et à répandre la pluie ».

8. Cependant, il y a un miracle qu’il est possible à l’homme d’accomplir : c’est quand, plein d’une croyance sincère, il se décider à déraciner de son coeur toutes les mauvaises pensées et que, pour atteindre son but, il ne va plus par les chemins de l’iniquité ».

9. Et toutes les choses qu’on fait sans Dieu ne sont qu’erreurs grossières, séductions et enchantements qui ne font que démontrer à quel point l’âme de celui qui pratique cet art est pleine de dévergondage, de mensonge et d’impureté ».

10. N’ajoutez pas foi aux oracles, Dieu seul connaît l’avenir : celui qui a recours aux devins souille le temple qui est dans son coeur et fait preuve de méfiance à l’égard de son Créateur »

11. La foi aux devins et à leurs oracles détruit la simplicité innée chez l’homme et sa pureté enfantine ; une puissance infernale s’empare de lui et le force à commettre toute espèce de crimes et à adorer les idoles ».

12. Tandis que le Seigneur notre Dieu, qui n’a personne pour lui être égalé, est un, tout puissant, omniscient et omniprésent : c’est lui qui possède toute la sagese et toute la lumière.

13. C’est à lui qu’il faut vous adresser pour être consolé dans vos chagrins, aidé dans vos travaux, guéri dans vos maladies ; quiconque aura recours à lui n’essuyera pas de refus.

14. Le secret de la nature est entre les mains de Dieu, car le monde, avant d’apparaître, existait au fond de la pensée divine ; il est devenu matériel et visible par la volonté du Très Haut.

15. Quand vous voudrez vous adresser à lui, redevenez des enfants, car vous ne connaissez ni le passé, ni le présent, ni l’avenir, et Dieu est le maître du temps.

XII

1. Homme juste, lui dirent les serviteurs déguisés du gouverneur de Jérusalem, apprends nous s’il nous faut exécuter la volonté de notre César ou attendre notre délivrance prochaine ? »

2. Et ISSA ayant reconnu des gens apostés pour le suivre dans ceux qui le questionnaient , leur dit : » Je ne vous ai pas annoncé que vous seriez délivré du César ; c’est l’âme qui est plongée dans l’erreur et qui aura sa délivrance ».

3. Il ne peut y avoir de famille sans chef et il n’y aura pas d’ordre dans un peuple sans un César à qui il faut obéir aveuglément, car lui seul répondra de ses actes devant le tribunal suprême.

4. César possède t’il un droit divin, lui demandèrent encore les espions, et est il le meilleur des mortels ?

5. Il n’y en a pas de meilleur parmi les humains, mais il y a aussi des malades que des hommes élus et chargés de cette mission doivent soigner en usant des moyens que leur confère la loi sacrée de notre Père céleste.

6. La clémence et la justice, voilà les pus hauts dons accordés à César, son nom sera illustre, s’il s’en tient là.

7. Mais celui qui agit autrement, qui enfreint les limites du pouvoir qu’il a sur son subordonné et va jusqu’à mettre sa vie en danger, celui là le grand Juge et fait tort à sa dignité dans l’opinion des hommes.

8. Sur ces entrefaits, une vieille femme, qui s’était approchée du groupe pour mieux écouter ISSA, fut écartée par un des hommes déguisés qui se plaça devant elle.

9.Alors ISSA de dire : »Il n’est pas bon qu’un fils repousse sa mère pour occuper la première place qui doit lui revenir. Quiconque ne respecte pas sa mère, l’être le plus sacré après Dieu,est indigne du nom de fils ».

10. Ecoutez donc ce que je vais vous dire : »Respectez la femme, car c’est la mère de l’univers et toute la vérité de la création divine gît en elle ».

11. « C’est elle qui est la base de tout ce qu’il y a de bon et de beau, comme elle est aussi le germe de la vie et de la mort. D’elle dépend toute l’existence de l’homme, car elle est son appui moral et naturel dans ses travaux ».

12. Elle vous enfante au milieu des souffrances ; à la sueur de son front, elle surveille votre croissance et jusqu’à sa mort vous lui causez les plus vives angoisses. Bénissez là et adorez là, car elle est votre unique ami et soutien sur terre.

13. Respectez là, défendez là, en agissant ainsi, vous vous gagnerez son amour et son coeur et vous serez agréables à Dieu ; c’est pourquoi beaucoup de fautes vous seront remises.

14. De même,  aimez vos femmes et respectez les car elles seront mères demain et plus tard grand mère de toute  une nation.

15. Soyez soumis envers la femme ; son amour ennoblit l’homme, adoucit son coeur endurci, dompte la bête et en fait un agneau.

16. La femme et la mère, trésor innappréciable que vous a donné Dieu ; elles sont le plus bel ornement de l’univers, et d’elles naîtra tout ce qui habitera le monde.

17. Ainsi que le Dieu des armées qui, jadis, sépara la lumière d’avec les ténèbres et le continent d’avec les eaux, la femme possède le divin talent de séparer chez l’homme les bonnes intentions des mauvaises pensées.

18. C’est pourquoi, je vous le dis, après Dieu, vos meilleures pensées doivent appartenir aux femmes t aux épouses, la femme étant pour vous le temple divin où vous obtiendrez le plus facilement le bonheur parfait ».

19. Puisez dans ce temple votre force morale ; là, vous oublierez vos tristesses et vos insuccès, vous recouvrerez les forces perdues qui vous seront nécessaires pour aider votre prochain.

20. Ne l’exposez pas à être humiliée ; par cela même, vous vous humilieriez vous même tvous perdriez le sentiment de l’amour, sans lequel rien n’existe ici bàs.

21. Protégez votre femme, pour qu’elle vous protège, vous et toute votre famille ; tout ce que vous ferez pour votre mère, votre femme, pour une veuve ou une autre femme dans la détresse, vous l’aurez fait pour votre Dieu.

XIII

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Remarque : Issa est un prénom masculin arabe, il est le nom arabe de Jésus selon l’Islam. Il y a des paroles mal traduites et mal interprétées et nous serons obligés d’y revenir.

© Coline Arcenciel ou Colinearcenciel, novembre 2017

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