4. A la suite du voyage dans la vie secrète de Jésus Christ

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Nous poursuivons ce voyage avec le voyageur sur les traces de passages d’ISSA soit Jésus Christ en Orient et malgré l’informatique, la documentation, le changement d’époque et le fait d’avoir imprimé ces documents : la documentation demeure difficile d’accès. Cependant, persévérons.

Voyager à la fin du XIXème siècle, en 2017 et bien, cela demande encore des plans et des images. Déjà, retrouver des images actuelles dans les mêmes lieux, est une chance car l’écriture des noms de lieux ont changé depuis.

Notre voyageur, se trouve toujours au Cachemire (Kashmyr écrit t’il) en Indes.

Il se trouve étonné de découvrir la polyandrie des bouddhistes du Thibet, décrivant des femmes souriantes, avenantes et contentes de vivre, à côté de pauvres hommes chétifs, très ouvrageux et tristes, courbés et vieux avant l’âge. Et ces auteurs trouvent les thibétains très laids et semblent un peu méprisant vis à vis des hommes. Voici un extrait :« Les jours de chacun des maris sont déterminés à l’avance, et chacun s’acquitte très exactement de ses devoirs, aussi les hommes sont t’ils en général faibles, le dos un peu voûté et ils ne vivent pas très vieux ».

Il se rendait cette fois au Ladakh.

« Le Ladakh est très souvent surnommé le « Petit Tibet » en raison de ses paysages de hautes montagnes et surtout de ses innombrables temples bouddhistes perchés sur des pitons à plus de 4 000 mètres d’altitude. C’est encore davantage le cas depuis l’annexion du Tibet par la Chine au début des années 1950 : le Ladakh étant maintenant considéré comme le cœur névralgique du bouddhisme himalayen. En effet, dès que l’on arrive au Ladakh, il est impossible de se tromper : il s’agit bien d’un territoire bouddhiste.

Les drapeaux de prières décorent les maisons et les bâtiments officiels, les moulins à prières et les stupas bordent les routes et l’on peut distinguer au loin les nombreux monastères surplombant les larges vallées. Nous avons donc bien entendu consacré une partie de notre séjour à la découverte de la culture bouddhiste himalayenne en visitant de nombreux monastères répartis sur ce territoire grand comme l’Irlande »  Image et extrait du site en cliquant ICI

Nous nous trouvons dans une zone appellé « le petit Tibet ». L’auteur parle d’un roi du « Thibet » contemporain de Mahomet qui entreprit la création d’une langue universellle pour tous les adeptes du Bouddha. 

Dans ce but, il fit simplifier la grammaire sanskrite, composa un alphabet qui contenait un nombre infini de signes et jeta ainsi les bases d’une langue dont la prononciation est des plus faciles et l’écriture des lus compliquées » dit il. Ainsi toute la littérature du Thibet est écrite dans cette langue ajoute t’il. On ne parle d’ailleurs la pure langue thibétaine qu’au Ladakh et dans le Thibet oriental. Il ajoute que ce n’est que dans les couvents que l’on peut trouver la langue tibétaine dans sa pureté et dans son intégrité et ceci dans les monastères. Alors de ce fait, nous allons un peu nous plonger dans l’histoire du Tibet.

« Au VIIème siècle, une monarchie d’une certaine importance émerge sur le territoire du Tibet actuel, marquant sa naissance comme entité politique unifiée.

Les rois ou empereurs de la dynastie Yarlung, dans la vallée duquel leur capitale de Yumbum  Lhakang aurait tout d’abord été installée, prétendent remonter au IIème siècle avant Jésus Christ  où le mythique Nyatri Tsenpo descendu du ciel aurait été intronisé (en moins 127  selon l’historiographie traditionnelle) et plus exactement  » roi du  Tibet de la dynastie de Yarlung  dont le règne débuta en l’an -127 au IIème siècle avant J.C.   Leur chefferie de Sheboye deviendra un royaume appelé Pugyäl (Tufan ou Tubo  par les Chinois et Tüböt par les Mongols, d’où le nom de Tibet) ».

ROI DU TIBET Nyatri Tsenpo

Voici le premier bâtiment tibétain, le palais de Le palais de YumbulagangYumbu Lhakhang ou encore Yungbulakang) est une forteresse de la vallée du fleuve du Yarlung Tsangpo près de Lhassa au Tibet. 

Image illustrative de l'article Yumbulagang

Photo de 1939 du premier palais tibétain.

Le voici en 2007

Il se trouve sur la colline des biches appellée ainsi car elle a une forme de biche.

3. A la suite du voyage de Jésus Christ

1938, ce premier Palais fut détruit et reconstruit en 1987.

Sous cette photo il est écrit ceci : « À des fins documentaires, les Archives fédérales allemandes ont souvent maintenu les descriptions originales d’images, qui peuvent être erronées, biaisées, désuètes ou politiquement tendancieuses. Ombulakhang (File:Bundesarchiv Bild 135-S-15-19-31, Tibetexpedition, Blick auf Kloster (Yumbu Lagang).jpg Création : 1 janvier 1938).

Nous vérifions les dires du voyageur en constatant la véracité historique de ses propos ici :

Les trois rois du Dharma furent les 33ème, 38ème et 41ème souverains 33ème, (Songtsen Gampo, Trisong Desens et Tri Ralpachen). Le premier d’entre eux, Songtsen Gampo unifia le Tibet et fonda l’Empire du Tibet  en l’étendant à des régions voisines, telles que  l’Amdo), notamment par la création d’une langue et d’une écriture communes pour traduire et diffuser le bouddhisme. Le voici représenté :

King Songsten Gampo's statue in his meditation cave at Yerpa.jpg

Songtsen Gampo (en tibétain: Srong-btsan Sgam-po, pyini, : Songzain Gambo ; né vers 609 , 613  – mort en  650,   3ème souverain de la dynastie Yarlung,  dont il fut  l’un des « trois rois Il transforme le Royaume en Empire du Tibet et conquiert de nombreux territoires jusque-là occupé par d’autres pays et cultures.

Voici son portrait où il médite dans la grotte de Yerpa ce qui a été omis plus haut.

Il fonde Lhassa où il installe sa résidence principale et son administration, et fit construire le premier bâtiment du Palais du Potala . Yumbulagang  était son palais d’été où la princesse Wencheg  de la Dynastie Tang le rejoint avant que Songtsen Gampo ne déplace son siège principal à Lhassa.

Il donna au royaume du Tibet les frontières qui seront encore les siennes au début du XXème siècle.    Il fit construire les temples de Jokhang et de Ramoché.  Sous son règne sera créée l’écriture tibétaine.

Notre voyageur et plus tard écrivan du Livre « La vie inconnue de Jésus Christ » contine à parler avec le Lama qu’il a rencontré sur la personne de ISSA (Jésus Christ) et songe à lui demander via son interprète où se trouveraient les écritures parlant de la vie d’ISSA. Le lama répondit :

« Les rouleaux principaux,dont la rédaction s’est faite, dans l’Inde et dans le Népal, à différentes époques selon et à mesure des évènements, se trouvent à Lassa au nombre de plusieurs milliers. Dans quelques grands monastères on en trouve des copies faites elles aussi à plusieurs époques. Le lama exprima qu’il ne possédait pas de copies. Le voyageur réfléchissait en se demandant comment Issa, prophète chez les bouddhistes avait pu se rendre là bàs alors qu’il était originaire de Palestine   et qu’il y vécu ainsi qu’en Egypte mais l’évangile ne contient aucune allusion au rôle que le bouddhisme aurait joué sur l’éducation de Jésus. Aussi, il se décida à visiter des monastères du Thibet en espérant trouver d’autres renseignements, des copies ou des documents qui permettrait d’affirmer encore un peu plus cette thèse. 

Il partit vers Karbou après avoir longé la vallée de la rivière Salinoumah, passa par le village de Chagdoom et fut ravi de rencontrer un autre forme d’architecture lorsqu’il vit de petites maisons à deux ou trois étages qui lui rappellait un peu l’Europe.

Il se rendit dans un hameau du nom de Lamayure où un couvent semble collé aux flancs du rocher. Pas d’escalier pour arriver à ce « couvent » mais des cordes pour passer d’un étage à l’autre » et ce couvent ressemble à un grand nid accolés aux paroi rocheuses, il parle plutôt de « grands nids ». 

Monastère Lakkah qui pourrait ressembler  à celui décrit car un village se trouvait en dessous mais sans certitude car l’auteur ne donne pas de précision et les noms cités sont très difficiles à situer géographiquement mais par la suite, il est bien probable que nous pourrons recadrer son parcours.

3. A la suite du voyage de Jésus Christ

Du site ici

qui est un site de voyage.

Un ajout concernant un document que je viens de découvrir et présenter en anglais. Voici le résumé en français de ce document :

 » Presque tout ce que nous savons sur Jésus vient de la Bible. Les quatre évangiles du nouveau testament de Matthieu, Marc, Luc et Jean nous en disent long sur les événements entourant sa conception et sa naissance. Ils fournissent également de nombreux détails sur son ministère en Palestine, et sur son procès, sa crucifixion et sa résurrection, qui ont tous eu lieu au cours des trois dernières années de sa vie. Cependant, ils nous disent très peu sur les années intermédiaires. Il y a un court récit dans l’évangile de Matthieu qui raconte comment la Sainte Famille s’est rendue en Égypte peu après la naissance de Jésus. Bien que la Bible ne fournisse pas de description de ce voyage, les détails ont été conservés dans les traditions de l’église chrétienne copte et un récit vidéo de ce voyage peut être trouvé via ce lien : https://www.youtube.com/ regarder?v=PNWLD… En 1894, un explorateur russe nommé Nicholas Notovich a publié un livre controversé qui affirmait qu’au cours d’un voyage à travers l’Himalaya, il avait visité un monastère bouddhiste où on lui avait montré des manuscrits sacrés qui révélaient que Jésus avait voyagé et prêché en Inde, au Tibet et en Perse. avant son ministère en Palestine. Ce film raconte l’histoire de cette découverte extraordinaire et rend compte de ce que ces manuscrits ont révélé sur le voyage de Jésus à travers ces pays ».

Et voici la vidéo :

© Coline Arcenciel ou Colinearcenciel, novembre 2017
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Jésus en Indes en Perses et au Tibet

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